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| (-16) Alfons, ou le mec qui avait des seins. | |
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Byeol Ae Ri admin ⸗ the dirty ice prince.
∆ BLAZE : ramyeon. ∆ AVATAR : la belle park hyomin. ♥ ∆ messages postés : 29 ∆ ici depuis le : 15/10/2012 ∆ ÂGÉ(E) DE : vingt grains de riz. ♥ ∆ DE SEXE : Féminin ∆ NATIONALITÉ : elle pensait être coréenne de pure souche, mais elle a des origines australiennes et s'appelle en réalité erika ... ∆ JOB : parfois comédienne dans un théatre, elle est aussi actrice dans des films et des dramas populaires. ∆ CÔTÉ COEUR : mon wannie oppa, il est trop le meilleur, ne, ne. ♥ mais c'est devenu si compliqué depuis que j'ai vu quincy... | Sujet: (-16) Alfons, ou le mec qui avait des seins. Sam 20 Oct - 18:32 | |
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zakouski & xiǎolóngbāo quand le canard laqué se mêle au caviar rouge.
« Putain, mais qu'est-ce qu'elle est grosse, Al'. T'as abusé du viagra ou t'as été croisé avec un putain de sénégalais ? » Quoi ! C'était pas faux, les noirs ont toujours eut la particularité d'avoir un gros asticot, c'était pas de ma faute si Alfons avait cette particularité aussi. Et puis merde, hein, c'était un compliment quoi, il était doté d'un gros asticot comme la grande majorité des noirs, il avait pas à ce plaindre - et moi non plus, quoi ! Bon, il me faisait plutôt mal quand il allait au maximum de mes possibilités. Vous savez, je sais parfaitement être très accueillant, mais il ne faut pas me demander l'impossible ! J'étais sensiblement très étroit quoi, alors bien sûr que c'était un point positif, mais des fois, le bougre était trop brutal avec mes petites miches dodues à souhait. Et ça m'énervait un peu, mais après, d'un sens, je le prenais bien. Il suffisait que je râle un peu pour le faire se calmer : il devait en avoir vraiment envie, lui, là. C'est donc après une partie essoufflante de saute mouton - oh, le vilain jeu de mots, j'suis trop fier. - qu'on avait fini par s'endormir. Non mais plus sérieusement : vous avez vu sa coupe à ce géant ? Il connait pas le lisseur, c'est pas un asiatique bordel ! Entre les cheveux bouclés, la taille de basketeur - il me dépasse d'une tête et demie, sans blagues - et SON ENORME ASTICOT, et sans parler de son foutu prénom qui sort de nulle part là... Ouais, il était pas coréen, pas même à moitié, j'en étais persuadé. « Tu m'a achevé. » C'était clair : si demain je pouvais encore marcher sans qu'on ai l'impression que j'avais un foutu balais enfoncé continuellement dans le fion, c'était magnifique... Bref pour en revenir à mes moutons, - putain, que je suis mauvais. Oh, oh, oh. - nous nous endormions souvent l'un dans les bras de l'autre, même si je repartais le lendemain. C'était une habitude, et puis, il n'était pas comme les autres. Déjà : il ne me payait pas et moi, je restait avec lui même après lui avoir plus ou moins donné ce qu'il voulait. C'était comme ça, et ça me suffisait bien, non...? Ouais, c'est ça. Bien sûr que je veux plus, pardis. Mais c'était pas le moment de penser à tout ça.
Je soupirais. Quelle heure était-il ? Je ne savais pas, il fallait dire que l'on avait fait la fête toute la nuit hier et que mes reins le ressentais vivement alors que j’essayais de me retourner pour attraper mon portable. L'autre géant frisé dormait encore à point fermé... Bah, on était dimanche après tout, il n'avait rien de meilleur à faire - et tant mieux. La migraine horrible arrivait, je la sentait déjà se foutre de ma poire quand elle viendrait me sonner les cloches et me rappeler que je ne supportait absolument pas l'alcool, que la moindre goûte me rendait bien vite en étant de loque ambulante. Bordel, j'avais pas envie de me lever... Je regardais alors vaguement le corps à mes côtés, il me tournait le dos. Je tirais alors une petite moue agacée. Pour une fois que j'étais réveillé avant lui, il ne pouvait pas faire l'effort d'être tourné vers moi pour que je puisse l'admirer !? Il était si beau, merde ! Mais il était surtout ... D'un calme impressionnant, une fois endormi. « Alfooooons. » disais-je d'une voix plutôt douce, mais surtout inhabituelle. Et c'est assez timidement que j'osais passer mon bras autour de lui pour l'enlacer. C'était pas franchement dans mes habitudes d'être câlin avec quelqu'un, pour ne pas dire que je ne l'avais jamais fait. Mais Alfons était une grande exception, il avait le droit de connaître mon côté doux et plutôt romantique - qui se cache parfaitement bien derrière mon grand côté machiavélique et pervers, il faut bien le dire. Étais-je si naïf de penser que le grand dadet pouvait être le seul, le malheureux qui pouvait un temps soit peu me rendre un peu foi en moi-même ? Roh, puis zut. Bien sûr qu'il m'attirait... Autant profiter, non ?
Je m'approchais un peu de lui pour pouvoir me coller contre son corps, nous étions encore nus et je devais avouer qu'un long frisson avait parcouru mon échine en retrouvant la chaleur de son corps que j'avais pourtant laissé se déchaîner sur moi la veille même. Je remontais mes mains le plus lentement du monde contre son petit ventre, profitant de déposer des baisers sur son épaule. C'était agréable, oui. Agréable jusqu'à ce que ma main remonte un peu trop haut et bute contre une ... Une sorte de dune de chaire. J'haussais alors un sourcil et je me redressais en sursaut, le retournant brusquement avant d'hurler. « AAAAAAAAAAAAAH. MAIS. MAIS PUTAIN ALFONS !!! » Il avait une poitrine ! Une poitrine... UNE POITRINE VOUS DISAIS-JE. Vous réalisez un peu la situation ? Un mec avec un gros asticot et en prime des mamelles de vache à lait... Dans quel monde je vivais, moi !? Et donc, je n'avais pas le temps de chercher où était le piège... Sérieux... C'était quoi cette connerie ?! C'était pas amusant. Je plotais les deux choses, et elles étaient terriblement bien réelles ! C'était franchement pas drôle s'il tentait de me faire une blague, et en plus, croyez-moi que si c'était le cas, c'était bien fucking trop bien fait. Je n'en croyais pas mes yeux et je me levais. « ALFONS. C'EST QUOI CETTE GROSSE MERDE QUE TU ME FAIS. Pourquoi t'as une paire de... De lolos, comme les meufs ?! » Je devais en tirer une sale tête... J'aurais même pas voulu me voir dans un miroir. Non, sérieusement, tout ce que j'avais bâti depuis quelques minutes venait de s'effondrer totalement. Quand même, je n'était pas fou ! Une poitrine si volumineuse, pour toute les fois où nous avons couchés ensemble : je l'aurais remarquée... Et, honnêtement, si c'était l'alcool qui faisait ça, il était puissant quoi ! J'étais perdu, vraiment. Il fallait qu'il m'explique dans quoi je venais de m'embarquer... Mais au fond, ça me faisait peur de savoir. Terriblement.
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Ahn Alfons thunderstruck ⸗ i've got the power.
∆ BLAZE : chun. ∆ AVATAR : parkchanyeol. ∆ messages postés : 62 ∆ ici depuis le : 10/10/2012 ∆ ÂGÉ(E) DE : 21y mon gars. ∆ DE SEXE : Masculin ∆ NATIONALITÉ : russo-coréen. ∆ POUVOIR : changer de sexe. ∆ JOB : testeur de jeux vidéo. ∆ CÔTÉ COEUR : libertin. | Sujet: Re: (-16) Alfons, ou le mec qui avait des seins. Dim 21 Oct - 17:30 | |
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Pourtant ça n'a jamais été dans ses habitudes. Coucher comme ça, avec n'importe qui, dès le premier soir, non ça ne lui ressemblait pas du tout. Qian Lei, il l'avait connu via internet vous devez vous en douter. Ils avaient longuement parlés et ils en étaient venus à faire ce qu'ils font encore aujourd'hui. Ça lui permettait alors de passer le temps et puis hormis le fait que le chinois soit quelque peu vulgaire, il pouvait être adorable. Il était très câlin avec lui et même si Alfons n'était pas du genre à aimer ce genre de choses, , il appréciait néanmoins le fait que l'humain lui porte autant d'attention. Des jours plus tard, un mois plus tard, il avait appris la profession du garçon un bon matin alors qu'il prenait son petit-déjeuner dans la salle à manger, il avait légèrement pouffé et avait trempé son pain de mie dans sa tasse. Alors comme ça il se prostituait. En gros il venait de lui apprendre qu'il couchait avec une pute. Il ne s'était pas prononcé à ce sujet, il était resté calme et détendu, on aurait presque qu'il s'en fichait un peu. Mais c'était la manière d'agir du beau russe. Aujourd'hui, il l'avait invité à manger un morceau avec lui, il lui avait même promis de cuisiner pour lui. Il n'était pas très doué pour la cuisine coréenne et encore moins pour la cuisine chinoise, mais il avait fait de son mieux pour lui préparer quelque chose de potable. Une sorte de mixe entre le russe et le coréen au final c'était dégueulasse. Vraiment dégueulasse, du coup il avait opté pour lui faire un ragoût et tout en parlant il s'était cuit de lui-même. Ils avaient mangé, s'étaient assit devant la télévision, la tête du chinois contre son épaule, la main du cher Alfons posé sur sa cuisse. Puis ils s'étaient embrassés et avaient rejoint le grand lit. Non, il n'avait pas été très doux au début puis il s'était doucement calmé sous les plaintes du garçon, Alfons était comme infatigable lorsqu'il couchait, on ne peut pas vous le cacher, il adore ça. Le rouquin c'était très vite endormi après l'acte, pendant cette longue et douce nuit il s'était réveillé une ou deux fois. Non, il ne sentait pas très bien, mais la douleur était moins importante que ses derniers jours et puis il n'avait pas eu de nausées alors du coup, il était sur et certain qu'il n'avait rien à craindre.
Il dormait encore. Il rêvait et son rêve était agréable. Il se trouvait autour d'une table, il semblait avoir dix-huit ans, sa soeur était à ses côtés, ils pouvaient aussi entendre la voix de ses parents qui se trouvaient dans une autre pièce. L'endroit il ne le connaissait pas, mais le seul fait de pouvoir être entouré des gens qu'il aime lui réchauffait le coeur. Puis il entendit la foudre et c'est à ce moment-là qu'il ouvrit les yeux. La foudre. Son coeur se mit à battre brutalement contre sa cage thoracique, ce bruit le traumatisé plus que que n'importe quoi. « AAAAAAAAAAAAAH. MAIS. MAIS PUTAIN ALFONS !!! » son coeur manqua un nouveau battement. La voix du chinois s'éleva dans toute la maison. Bordel. Le concerné se redressa un peu et lorsqu'il vit la main du garçon sur sa paire de seins, il le bouscula sévèrement. Alors là, il ne l'avait pas vu venir. Les traits de son visage étaient plus doux, ses mains plus fines et son corps n'avait rien à voir avec celui qu'il avait en temps normal. Il avait changé de sexe, il était devenu cette femme et ça sans même que les nausées ne s'emparent de sa gorge. Incroyable, il fixa attentivement ses mains, puis il visage de son amant. « ALFONS. C'EST QUOI CETTE GROSSE MERDE QUE TU ME FAIS. Pourquoi t'as une paire de... De lolos, comme les meufs ?! » Il lui demandait pourquoi ? « t'es en train d'halluciner mon cœur. » sa voix beaucoup plus aiguë, ses yeux de biches, un petit sourire se dessina sur ses lèvres charnues, il était canon que ce soit en mec ou en fille, il restait très beau. Il s'approcha des lèvres du garçon et s'en empara délicatement. Il préférait le faire passer pour un dingue, sa transformation ne durait jamais très longtemps, son plus grand record avait été de trente minutes et pas plus alors bon, les années avaient beau passer il n'était pas assez intelligent pour maîtriser un aussi gros don, mais il finissait par vivre avec. « tu vois des nichons quelque part toi ? moi, je ne vois rien. » il passa sa main sur le doux visage de Qian Lei et s'allongea sur le ventre histoire de cacher cette poitrine. Il n'en croyait pas ses yeux, il n'avait rien vu venir et voilà maintenant qu'il se retrouvait à nier la réalité devant l'homme avec lequel il couchait. Il ne pouvait pas lui dire la vérité, il était beaucoup trop gêné de parler de tout ça. Il ravala sa salive et enfonça son visage dans son coussin. Ses cheveux ondulées étaient éparpillées un peu partout. Ouais, j'préfére nier tout ce bordel.
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