死猪不怕开水烫. camyi.



 
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 死猪不怕开水烫. camyi.

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werewolf ⸗ i'm born to be wild.
Jang Cameron
Jang Cameron
werewolf ⸗ i'm born to be wild.


∆ BLAZE : ash.
∆ AVATAR : park jiyeon. (t-ara)
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∆ ÂGÉ(E) DE : 19 ans physiquement mais, en réalité, 107.
∆ DE SEXE : Féminin
∆ NATIONALITÉ : écossaise et coréenne.
∆ JOB : j'écris.
∆ CÔTÉ COEUR : personne. deux, trois jouets par ci par là mais rien de bien sérieux.

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MessageSujet: 死猪不怕开水烫. camyi.   死猪不怕开水烫. camyi. Rapons10Dim 25 Nov - 1:53


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死猪不怕开水烫.
Le dernier sur la liste. Le seul vampire au cœur d’acier qui respirait encore. L’ultime délivrance. La jeune fille ferma les yeux, face aux bois derrière lesquels se trouvait la demeure de l’impuni, lâchant un soupir. Cette exécution était obligatoire, vitale. Elle avait beau avoir tué la quasi totalité des meurtriers de son père, son esprit ne serait jamais en paix si elle ne terminait pas sa tâche. Elle ne pouvait pas abandonner, c’était ainsi. Et encore, rien ne lui garantissait le repos une fois que tout cela serait enfin fini. Mais, dans le pire des cas, elle se dirait que « justice est faite ». Et ça lui irait, après tout ce temps perdu. Pourquoi avait-il fallu que ces suceurs de sang s’en prennent à son père ? c’était un homme si bon, si généreux. mais peut-être qu’il lui avait caché des choses obscures, sales ? elle n’avait pu le connaître que jusqu’à ses six ans ; donc il était fort probable qu’elle n’ait pu voir que ses bons côtés. Et puis, quel paternel se comportait mal avec sa fille ? Il avait très bien pu être un vrai salaud avec énormément de personnes mais pas avec son bébé. C’était possible. Elle n’avait jamais eu la force de demander des informations à propos de son géniteur à son clan. Pourquoi ? De peur de poser les mauvaises questions et donc, d’obtenir les mauvaises réponses. Elle, ce dont elle était persuadée, ce qu’il avait toujours été correct et aimant avec elle. Quoi qu’il ait pu faire, elle le pardonnerait. Il avait été le meilleur des pères – le seul – et jamais cette vision ne changerait. Mais ce n’est pas pour autant, bien sûr, que son ventre ne se tordait pas désagréablement lorsqu’il s’agissait de tenter de deviner les raisons de son assassinat. « quoi qu’il en soit, aujourd’hui c’est ton dernier jour sur cette terre. Tu vas rejoindre l’homme à qui tu as vendu ton âme. » lança t’elle, dans le vent, ses cheveux virevoltant. La lune était haute dans le ciel et partiellement cachée par les nuages. L’heure avançait. Cameron prit une dernière bouffée d’air, entourée de flocons de neige. La chasse était ouverte. (...) « bordel. » marmonna la brunette en entrant dans le métro, tenant fermement la bretelle de son sac – comme si cela pouvait apaiser sa douleur. Saloperie de vampire intelligent ! il fallait quand même avoir plus d’un neurone pour conserver une bonne vieille carabine dans son hall d’entrée. Sans doute avait-il pris cette initiative après avoir entendu de la bouche de certains de ses camarades que d’autres étaient morts. Elle aurait dû se douter qu’il serait sur ses gardes : mais de là à prévoir qu’il ouvrirait la porte, s’exposant clairement au terrible danger de se faire mordre par un loup-garou – blessure mortelle pour un vampire, précisons-le – c’était abusé. Peut-être qu’elle aurait dû songer à contacter une voyante avant d’attaquer ? Ou alors peut-être qu’elle aurait dû s’en prendre à lui sous forme humaine. Non pas parce qu’il ne devinerait pas son identité – parce qu’il aurait capté illico – mais parce qu’il ne se dirait pas qu’elle est assez folle pour attaquer sans pleine lune. Sans forme animale. Oui, voilà elle aurait dû faire ça. Elle se serait mise volontairement en danger, moins robuste dans ce corps-là, mais au moins elle l’aurait tué. Soupirant fortement, l’écossaise sauta par-dessus le tourniquet, un brin rebelle mais avant tout trop pressée pour aller s’acheter gentiment un ticket. Mauvaise idée ; décidément, elle les enchaînait. Serrant les dents sous la nouvelle douleur qui venait de se réveiller dans sa cuisse, Cameron se lança une malédiction : si elle agissait encore une fois stupidement, elle se priverait de nourriture pour toute une semaine.

Et le pire dans tout ça, c’est qu’elle respecterait sa propre décision. Elle était une louve solitaire et se devait donc d’obéir à ses propres ordres en situation de crise. Si elle pouvait compter sur quelqu’un d’autre pour lui faire la morale ou lui donner une punition ? Non, elle était bien trop grande-gueule et indépendante pour accepter de telles choses. Personne, et je dis bien personne. « mademoiselle, veuillez me montrer votre ticket, s’il-vous-plaît. » et merde, deux erreurs en une seule. ô chance, comme tu es généreuse en ce jour glorieux – ironie. La brunette fronça les sourcils : bon, est-ce qu’elle avait le temps de régler des comptes, de payer une amende et de se faire sermonner ? non. Esquissant un sourire, laissant au contrôleur un espoir d’obéissance, Cameron prit ses jambes à son cou, traçant aussi vite qu’elle le pouvait à travers la masse de civils pour entrer dans le premier métro disponible. Une seconde de plus et elle se serait retrouvée coincée entre les deux portes ; seulement sa jambe – le blessée bien sûr – avait été touchée lors de cette fuite. Pour ne pas attirer l’attention plus qu’elle ne le faisait déjà, elle ne porta pas sa main à sa blessure tout de suite, allant d’abord s’asseoir dans un coin. Là, le contrôleur ne la verrait pas et, si ça se trouve, ses yeux n’avaient pas été assez rapides pour la voir pénétrer dans le wagon. Reprenant son souffle, un brin essoufflée, Cameron balaya l’endroit du regard pour voir si on la fixait. A part deux puceaux binoclards et une vieille bien trop curieuse, aucun globe oculaire n’était accroché à sa silhouette. Bien, elle allait pouvoir regarder si sa plaie ne s’était pas davantage infectée avec l’horrible pincement qu’elle venait de subir. Quoi que, ce n’était peut-être la meilleure stratégie. Oui, mieux valait qu’elle attende d’arriver à l’hôpital pour ça – en espérant qu’ils ne remarquent pas quelque chose d’anormal dans son sang ou dans ses gênes. « excusez-moi. » la brune roula des yeux, irritée – il faut dire qu’elle avait ses raisons – avant de les poser sur l’homme corpulent qui lui adressait la parole. « quoi encore ? » cracha t’elle, lui offrant une dose gratuite d’insolence et le privant de respect. D’accord il n’y était pour rien, lui, si la journée de Brooke était pourrie. Mais, si il avait été assez observateur pour s’épargner ce ton agressif, il aurait remarqué qu’elle n’avait pas du tout le visage ouvert à la moindre approche. Même un « vous êtes magnifique » l’aurait soulée. L’inconnu s’éloigna un peu, comme effrayé – pourtant sous cette forme elle ne faisait pas tellement peur bien que son regard soit meurtrier – « je voulais juste vous signaler qu’il y a du sang sur votre pantalon, je crois. » non ? fait chier. Cameron ouvrit la bouche, prête à répondre quelque chose, baissant ses prunelles noires sur son jean. Vive la discrétion.« euh »bafouilla t’elle, cherchant ce qu’elle pourrait rajouter. Le remercier ? ridicule, il attirait l’attention avec sa superbe découverte. « et si t’allais voir ailleurs, gros lard ? » vulgarité, toujours la première option lorsqu’il s’agissait de virer quelqu’un rapidement. Elle n’en était pas spécialement fan mais il faut dire que ça la défoulait un peu. Et du coup, au lieu d’attirer les petits curieux, elle les fit fuir. Personne ne voulait se frotter à elle et c’était compréhensible.


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admin ⸗ the sadistic child.
Wu Yin Yue
Wu Yin Yue
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∆ BLAZE : nuòyán.
∆ AVATAR : zhang yixing - lay.
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∆ ÂGÉ(E) DE : vingt et un ans.
∆ DE SEXE : Masculin
∆ NATIONALITÉ : chinoise.
∆ JOB : assistant vétérinaire.
∆ CÔTÉ COEUR : ta mère.

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MessageSujet: Re: 死猪不怕开水烫. camyi.   死猪不怕开水烫. camyi. Rapons10Dim 25 Nov - 14:17



“ An insincere and evil friend is more to be feared than a wild beast; a wild beast may wound your body, but an evil friend will wound your mind.”
tenue;
Je l'entendis hurler du fond du couloir et je ne pus rien faire autre que soupirer encore plus, le menton posé dans la paume de ma main. Être assistant était, en soi, plus ou moins nul à chier. On servait carrément de secrétaire et on ne pouvait même pas assister aux interventions animales. Alors, à quoi cela servait d'être ici, si ce n'était pour faire la joli plante de décoration derrière un bureau ? Pas grand-chose. J'organisai les papiers, les rangeant dans l'ordre alphabétique avant de les placer dans l'ordre inverse. Parce qu'on comblait le temps comme l'on pouvait dans cette foutue clinique vétérinaire. Pourquoi avais-je fait ce métier ? Probablement parce que je souhaitais protéger les humains sous ma forme animale, et les animaux sous ma forme humaine. Ou, pas vraiment. Juste parce qu'en tant que loup j'avais une certain prédestinée à comprendre les animaux ? Bon, la race canine plus que féline – mais c'était toujours mieux que les humains qui ne comprenaient parfois pas grand-chose à aucunes des races, non ? Si. La torture guérisseuse pour le chiot s'achevait enfin quand mon supérieur réapparut avec sa blouse blanche et ses gants encore mis. Je me levai machinalement. Aller, Yinyue, fais ton boulot de bonniche. Les maîtres du dît animal se levèrent à leur tour et vinrent demander des nouvelles du petit. Il assura que tout s'était bien passé pendant que je lui retirai ses gants et sa blouse, lui-même faisant l'effort surhumain de s'occuper du masque qu'il portait sur le bas de son visage. Il continua à leur parler, utilisant ce même discours que d'habitude. Ce fut difficile mais tout s'est bien déroulé. Piuti est un bon et brave chiot. Il faut du repos. Je vais vous donner les cachets pour le traitement postopératoire. Et pour finir, l'ultime réplique qui me rendait dingue. Une 'blague' comme il le disait, mais que je ne pouvais m'empêcher de prendre avec une certaine suspicion. Profitez que je sois là en cas de problèmes, bientôt c'est lui qui prendra ma place. Il disait que c'était drôle, que nous chinois étions réputés pour manger du chien. Néanmoins, même si les clients riait à cette si douteuse blague, je me demandais si ce n'était pas un peu de mauvaise pub pour la clinique. Bien entendu, le fait qu'il me voit déjà comme son successeur était une bonne chose pour moi. J'avais hâte de faire autre chose que nettoyer monsieur sortant de son bloc. Cela dit, si les clients ne venaient plus et que la clinique faisait faillite, ce serait bien stupide pour une pauvre blague dite en l'air un peu stupidement. Je me contentai de sourire. Principalement parce que l'idée de tenir tête à son supérieur pour si peu n'était pas vraiment intelligent, et ensuite parce que je n'avais rien à dire. Tant que cela ne ruinait pas mon avenir, il pouvait sortir toutes les âneries qu'il souhaitait sur ma pomme.

Midi sonna et je bénis celui qui avait eu la présence d'esprit d'inventer une longue pause de trois heures pour le pauvre petit assistant que j'étais. Dans le but que je puisse me rassasier tranquille avant d'attaquer mon après-midi en m'étant préalablement préparé à effectuer des visites – enfin, ça c'était normalement. En ce si beau jour, il se trouvait que mon après-midi était tout à fait libre. Grâce au ciel, un assistant n'avait pas les même heures qu'un titulaire et, donc, quelques demi journées de plus. Aujourd'hui était la mienne. Qu'allais-je faire ? Oh, dormir probablement. Me prélasser telle une loque sur mon canapé et ne plus bouger jusqu'à ce qu'une idée lumineuse vienne éclairer mes lanternes. Bon programme, très bon programme. Peut-être aller faire un tour au salon de thé histoire de se désaltérer un peu et prendre du bon temps dans un endroit silencieux. Du calme. Oh oui, il m'en faut. Reposer mes sensibles oreilles un peu ne me ferait pas de mal. Alors, c'était décidé. Je rentrai chez moi, n'habitant pas très loin de mon lieu de travail et engloutis de la viande saignante. Je me demandais comment je pouvais ne pas me lasser d'une telle chose. Je voulais dire … Les humains avaient toute sorte de repas, de nourriture, ils pouvaient ne pas se lasser de ce qu'ils mettaient dans leur bouche mais moi ? Je n'avais que des variances de viande et, on avait rapidement fait le tour quand on aimait pas des variétés spécifiques. La seule que je n'avais pas encore goûté, au fond, c'était la chair humaine et, dieu jamais, je ne voudrais y toucher. Peu importait, au final. Tant que cela n'était pas désagréable je ne voyais pas exactement de quoi je me plaignais – quoi qu'il ne s'agissait pas réellement de plainte mais davantage de curiosité. Fasciné par la nature qui m'avait fait si semblable mais si différent des humains. Fasciné par le fait que vampires et loups ne s'entendaient guère alors que nous étions la même chose. Une race palliative entre les hommes et les bêtes. Pourquoi étions-nous dans une perpétuelle guerre si nous étions si proches ? Bonne question. Je devrais, logiquement être un loup de plus haïssant sa race opposée mais – même pas. Quand je savais ce qu'une meute coréenne avait osé faire à la mienne, je n'avais aucunes raisons de préférer les loups aux suceurs de sang. Ah, peu importait. Je n'aurais jamais de réponses, alors pourquoi se poser sur la question.

La station souterraine était bondée de monde. Bien sûr, midi et deux, le rassemblement de toutes les personnes rentrant chez elles afin de manger et se reposer avant de péniblement retourner bosser. Je soupirai, passant ma carte sur une borne afin de m'engouffrer à l'intérieur, m'enfonçant dans la profondeur des sous-sols de Séoul. C'est en voyant les humains s'activer de cette manière que l'on se rendait compte que la vie n'était qu'une éternelle course contre la montre. Au final, seuls les vampires nous dépassaient sur ce point-là. L'immortalité. Qu'était-ce ? Était-ce agréable ? Je n'en étais pas sûr. Et je m'en moquais, au fond. Je me glissai entre les personnes, pressant le pas afin de prendre le prochain métro qui arrivait. J'entendais les rails grincer au loin et je voulais être sur le bord du quais afin d'entrer le premier et m'assurer d'avoir une place. Attendre cinq minutes, debout, au milieu du bruit et de personnes étranges n'étant pas ma tasse de thé. Il arriva et je passai le premier. Étrangement, il n'était pas SI bondé que cela, la populace se séparant en deux sur les deux seules lignes qu'offrait ce côté-ci du sous-sol. Je voulus m'asseoir sur un siège, puis renonçai à l'idée quand une vieille dame passa à proximité. Elle me gratifia d'un sourire et prit la place non sans me dire que j'étais un bon garçon. L'ombre d'un sourire traversa mes lèvres. Un bon garçon, hein ? Chère grand-mère, si vous connaissiez mon passé, vous n'en serez peut-être pas tellement convaincue. J'appuyai mon dos contre la vitre et croisai les bras en fermant les yeux. Pas de races autre qu'humaine dans cette rame. Dieu merci, cela m'évitera des affrontements inutiles ou des tensions stupides alors que ni lui ni moi n'aura de raisons valables de se foutre sur la gueule. Un cri parvint jusqu'à mes oreilles et, à peine entrouvris-je les yeux qu'une furie courante pénétra dans le métro. Encore une qui était à deux doigts de le rater, hein ? Je souris en coin l'espace de quelques seconde, puis refermai les yeux. Pas pour longtemps, non plus. Cette odeur. Du sang. Quelqu'un était blessé. Je pris quelques secondes pour renifler l'air discrètement puis posai mon regard sur elle. Blessée ? Courir en étant blessée ? Je plissai le nez. Même pas humaine, en plus. Attaquée par quelqu'un ? Fuyant quelqu'un ? Comme si ça me regardait. Je la fixai de loin, assise sur son siège. Alors, yinyue, bougeras-tu ou non ? Si c'était une bataille entre deux êtres surnaturels, même pas la peine d'y fourrer son nez dedans. Pas envie de me retrouver dans l'eau chaude pour d'autres, encore. Mais bon. Insensible à une demoiselle qui pisse ardemment le sang ? Nope. Pas possible pour moi. Je me redressai mais un garçon me devança. ah. Tant pis. Je m'apprêtai à me faire de nouveau petit quand elle l'envoya balader peu gentiment. Le manque de respect ? Quelque chose qui me mettait hors de moi. Je me demandais comment se garçon pouvait se retirer si docilement face à une telle insolence. Pour sûr, heureusement que je n'y étais pas allé, car ce serait passé plus ou moins différemment avec moi. « En voilà une manière de remercier quelqu'un. » Même pas le temps de souffler deux minutes que je m'étais déjà approché d'elle. Tu vas le regretter, Yinyue. M'en fiche. J'avais parlé d'un ton neutre, sans reproches ni quoi que ce soit qui pourrait être interprété de négatif. Anticipant une douceur qu'elle allait me cracher au visage, j'articulai tout aussi doucement, en prenant une voix un ton au dessus dans les aigus. « Qu'est-ce que ça peut te faire laideron ? Rien, laisse moi juste voir ta blessure. » je relevai le regard, haussant un sourcil. « J'suis vétérinaire. » Étrange manière que d'aborder une jeune fille en la comparant à un animal, n'est-ce pas ? C'était un moyen détourné de lui faire comprendre que je savais ce qu'elle était, sans que les personnes autour ne se doutent de ce que je pouvais bien dire. À moins bien sûr que l'on ne décide de se moquer d'elle en pensant que c'était ce que je faisais actuellement.


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