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admin ⸗ the cute pokemon.
Bae Blaine
Bae Blaine
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∆ BLAZE : ass kicker ; kero
∆ AVATAR : sweet baby luhan ♥.
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∆ ÂGÉ(E) DE : dix-huit ans
∆ DE SEXE : Masculin
∆ NATIONALITÉ : américain
∆ POUVOIR : maîtrise de l'eau
∆ ÉTUDES : droit & social
∆ CÔTÉ COEUR : heartless, mindless

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MessageSujet: you give me something. ❞ feat. nolan ♥.   you give me something. ❞ feat. nolan ♥. Rapons10Sam 13 Oct - 21:41



in my mind we were always just that close



octobre. c’est bien le mois où l’on sent le froid arriver. les rues ne sont pas aussi bondé de monde qu’en été et, soyons réaliste, personne n’a envie de travailler avec ce temps humide, parfois pluvieux comme aujourd’hui, tout le monde voudrait rester enfermer chez soi, du moins tous sauf blaine. le jeune garçon c’était lever tôt ce jour-là et malheureusement pour lui, ce fut un réveil en solitaire. l'appartement était vide, froid, sans vie, chose que le jeune garçon n’apprécier guère. ça faisait quelques jour que son ami avait découché, quelques jours qu’il n’avait pas eu de signe de vie de nolan et pour dire vrais, ça l’inquiéter énormément. blaine supportait mal l’absence de son ami. le jeune garçon était habitué à subir les foudres de son colocataire et bien qu’il n’aime pas ça, il préfèrerai encore avoir à subir la colère injustifié de son ami plutôt que de ne pas avoir de signe de vie de ce dernier. ce matin-là, blaine c’était lever avec une mine bien triste. l’absence de son ami, qui avouons-le, était plus qu’une ami aux yeux du jeune garçon, commençait sérieusement à faire du mal à blaine. rester seul dans un si grand appartement était bien trop difficile pour le jeune américain qui ne c’était pas attardé pour aller se laver et s’habiller. suite à cela, je garçon ne pris même pas la peine de déjeuner, il partit simplement de l’appartement en soupirant lourdement.

bien que le chemin pour se rendre était assez court, le jeune garçon décida de prendre la plus longue route, marchant calmement dans les rues froides. aux yeux des passants, il semblait perdu dans son esprit, il ne prêté aucune attention aux gens et ne faisait même pas attention lorsqu’il traversé la rue. certains le prenait pour un inconscient, d’autre le regarder en pitié, pensant qu’il lui était arrivé un malheur. cependant, malheur, est-ce un bon mot pour définir toutes ces inattentions ? pas sûr. quoi qu’il en soit, il était évident que l’absence de nolan le perturbé énormément. assez pour que le jeune garçon ai la tête ailleurs au point de risquer de se faire renverser par une voiture. après avoir traversé la ville de façon plus ou moins dangereuse, le jeune blaine arriva à son local où ce dernier pratiquer son métier de photographe. son métier était un moyen de lui libéré l’esprit, du moins, c’est ce qu’il croyait. ce jour-là, on pouvait clairement dire que c’était un jour de trop pour blaine, lui qui habituellement faisait son travail à la perfection et bien pour ce coup-ci, ce fut rater. il passait ces nerfs sur les personnes qui posaient pour lui ou sinon, il s’isolait dans une pièce, restant muet durant plusieurs heures. oh non, ce jour-là, ce n’était pas une bonne journée, comme les précédentes d’ailleurs. plus les heures avancées, plus les nerfs du jeune garçon augmenté. partir, il voulait partir, non pas pour retourner chez lui, mais simplement partir loin, sans rien dire à personne. il était arrivé à sa limite. il allait exploser et il le savait, il renvoya tout le monde pour le restant de la journée et il s’enferma dans le local, restant seul. blaine rangea son matériel puis se dirigea vers son sac et sorti son portable. il donna un léger coup d’œil sur l’appareil, regardant si il avait reçu un message mais en vain. il n’y avait rien. aucun message, aucun appel.. rien.

les minutes passaient et le jeune garçon tournait en rond dans le local. la nuit commençait à tomber dehors, le froid devenait plus fort, certain courant d’air se glissait dans le lotissement et contre toute attente, le garçon c’était endormi par terre, appuyé contre un mur. le léger vent froid était venu lui chatouiller le visage, ce qui bien sûr, l’avait réveillé. il c’était doucement relever et observa l’heure sur son portable, il réalisa par surprise qu’il avait dormi toute l’après-midi, il avait pris son sac puis il quitta rapidement le local, fermant à clé derrière lui. c’était bien la première fois que le jeune américain c’était endormi de la sorte. il c’était retrouvé dans la rue combattant le froid tant bien que mal. idiot comme il était, il avait oublié son manteau et son écharpe à son local, mais étant têtu, il ne pris même pas la peine de faire demi-tour pour aller les cherchés. il avait traversé rapidement la ville, toussant par moment ou même éternuant. il était clair qu’il avait choppé un joli coup de froid. une fois arrivé en bas de l’immeuble, il n’avait pas perdu de temps pour ouvrir la porte et foncé rapidement à l’ascenseur pour ainsi regagner son étage. une fois devant la porte d’entrée, il souffla un bon coup et mit la clé dans la serrure. une fois la porte ouverte, il ne perdit pas de temps et entra dans l’appartement. il avait laissé ces chaussures à l’entré puis balancé son sac par terre. Il avait observé la pendule du salon. voyant l’heure tardive qu’il était, il avait fait le tour de l’appartement et comme il s’en doutait très bien, aucuns signe de nolan, à son plus grand regret. blaine était certes fatigué mais comme d’habitude, il attendait le retour de son ami. il c’était allonger sur le canapé, attendant que son début de fièvre passe mais surtout que nolan veille à pointé le bout de son nez, malheureusement, la fièvre pris le dessus et il n’en fallu pas beaucoup au jeune garçon pour s’endormir comme un pauvre petit bébé. cependant, son repos fut de courte durée. il avait les yeux fermés mais pourtant, ces oreilles percevaient des bruits non loin de lui. il avait ouvert ces yeux en grand et c’était redresser immédiatement.

surprise petit blaine. Nolan était face à lui. d’un seul coup, le jeune garçon oublia sa fièvre et bien qu’il soit légèrement affaiblit, il se leva et s’avança vers son aîné de façon agressive. sa respiration s’accéléré et bien qu’il était debout face à lui, il n’arrivait pas à sortir un seul mot. blaine se contenta de donner de léger coup de poing sur le torse de son ami, bien évidemment, il était loin d’avoir assez de force pour faire mal à son ami. l’espace d’un instant, il s’arrêta puis le regarda dans les yeux puis il baissa la tête en soupirant. « pourquoi ?.. pourquoi tu es parti ? non ! plutôt.. pourquoi tu m’as pas contacter pour me rassuré ou pour me dire où tu étais ?! ». il soupira fortement, le peu de force qu’il avait en lui, il s’en servit contre nolan. sans prendre réellement conscience de ce qu’il faisait, il plaqua son ami contre le mur, essayant de bloquer ce dernier pour l’empêcher de vouloir s’échapper. « c’est moi que tu fuis comme ça ? .. ou est-ce parce que.. ». il stoppa sa phrase et déglutit et releva les yeux vers ceux de son ami et fronça les sourcils. « c’est parce que t’as trouver quelqu’un ?.. je vais te dire ! t’es un abruti ! un égoïste ! un bel enfoiré ! puis merde ! que tu passes la nuit dehors, ça te regarde, je te demande juste de me prévenir et pas me laisser sans nouvelle comme tu l’a fait durant toute cette semaine ! je m’inquiété moi ! t’avais pas le droit de partir faire la fête ou je ne sais quoi sans me prévenir merde ! ». sur ces mots, le plus jeune recula doucement. ah, c’est qu’il était perdu le petit blaine mais le pire, c’était qu’il avait mal, il avait mal il ne disait rien. il restait face à son ainé et l’observé, impuissant.


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admin ⸗ the sadistic child.
Baek A. Nolan
Baek A. Nolan
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∆ BLAZE : nuòyán.
∆ AVATAR : kim jong in - kai.
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∆ ÂGÉ(E) DE : dix-neuf.
∆ DE SEXE : Masculin
∆ NATIONALITÉ : colombien-américain aux origines coréennes.
∆ JOB : mannequin.
∆ CÔTÉ COEUR : seems like i am bae blaine's property.

∆ MY CRAZY SPELLBOOK :
give me a b to the l to the aine; and i'mma go insane. think about how much blood i need and nakht is about to freeze. {uc}
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MessageSujet: Re: you give me something. ❞ feat. nolan ♥.   you give me something. ❞ feat. nolan ♥. Rapons10Lun 15 Oct - 13:19



“Sometimes you wake up from a dream. Sometimes you wake up in a dream. And sometimes, every once in a while, you wake up in someone else's dream. ”
tenue;
hé, connard, tu pourrais t'excuser. vrillant mes pupilles écarlates vers celui qui venait ainsi de m'adresser la parole, j'eus la jouissance de constater que l'élan de courage qu'il avait eu à m'agresser ainsi s'était évaporé bien plus rapidement qu'il était arrivé. Il écarquilla les yeux, secoua la tête et agita sa main dans les airs l'air de dire qu'il ne s'était rien passé. Je gardai cette même expression neutre sur mon visage, n'exprimant rien autre que la lassitude. La peur dirigeait les hommes – et la prétention aussi. Ce jeune garçon, là, il avait simplement voulu impressionner ses potes en pensant qu'il était judicieux de me hurler dessus alors que j'avais à peine tapé dans son épaule sans faire attention. Il devait avoir le sang chaud. Quelle ironie. Le petit groupe s'éloigna à grandes enjambées tandis que je continuai à déambuler dans les rues tel un fantôme. Depuis combien de jours est-ce que je marchais droit devant moi sans m'arrêter ? Beaucoup, en tout cas. Mes pieds commençaient à en avoir assez. Et pour qu'un corps ne ressentant que très peu la douleur, sentir cette désagréable sensation devait indiquer que cela devait faire un bon petit moment. Tellement, que j'en avais perdu la notion du temps. Notez, pour un vampire il vaut mieux perdre la notion que de compter les jours car j'allais pouvoir expérimenter tous ces chiffres infinis. Honnêtement, j'avais autre chose à foutre que m'amuser à compter les jours de mon existence. Cela ne devait pas faire un mois que j'avais quitté l'appartement, où la soif m'aurait guetté. Cela ne devait pas faire non plus que quelques heures, ou un ou deux jours. Alors combien ? Une semaine ? Deux ? J'apprenais à ne me dé-sensibiliser à Blaine. Et cela avait l'air de plutôt bien marcher. Loin des yeux, loin du c... je baissai machinalement les yeux vers ma poitrine. Loin du cœur ? Un sourire narquois prit le contrôle de mes lèvres. Comme si j'en avais un. J'étais égoïste. Égoïste et égocentriste. Parce que je savais que lui, il en avait un. Probablement que ma disparition devait l’inquiéter. Enfin, je n'en savais rien. Et même si je ne lui voulais absolument aucun mal ou aucune souffrance – dans le fond, j'espérais que je lui manquais. Au moins un petit peu. La vision de cet homme qui m'attendait à la maison était quelque chose qui me réchauffait l'esprit. D'un autre côté, je n'avais pas envie qu'il m'attende, qu'il fasse attention à moi – parce que je ne le méritais tellement pas. Quel ami était du genre à disparaître sans donner de nouvelles ? Sans prévenir ? Un connard, assurément. Si l'on prenait la peine de fouiller mon portable et que l'on ouvrait la conversation avec Blaine, on pouvait voir des débuts de phrases insensées – des brouillons. ne m'attends pas, je ne rentre pas, non, trop froid ; j'serais pas là c'soir, ni demain, j'sais pas quand j'reviens, m'attends pas, non, trop étrange ; je rentre pas, non, trop effrayant ; je t'a.... Non. Quand on ne disait rien d'intelligent, il fallait se dire. C'était ce que ma chère nourrisse m'avait inculquée. La parole était d'or, le silence était d'argent. Je préférais tellement ne rien dire plutôt qu'un flot de mots insensés. Je préférais le paniquer à ne rien dire plutôt que ces phrases incompréhensibles auxquelles je devrais me justifier – pour rien. Étais-je stupide ? Oui. Je l'étais. Avais-je envie de changer ? Oui, pour lui. Le pouvais-je ? Non. Mon impulsivité m'empêchait tout contact avec lui. Je devenais automatiquement de mauvaise humeur, je devenais exécrable. Il allait finir par me détester. Au fond, c'était peut-être mieux pour lui.

Je fus tiré de mes sombres pensées par le joli visage d'une inconnue qui me souriait. Mes pas m'avaient guidés dans une boite de nuit. Dans quel quartier étais-je ? Pas la moindre idée. Quelle heure il était ? Il me suffisait de lever le regard vers le ciel pour me rendre compte que selon la position de la lune, il était minuit passé. Plusieurs personnes faisaient la queue afin de rentrer et l'entente des basses qui tapaient au rythme de la musique dès lors que la porte s'ouvrait et laissait passer des humains me donna subitement envie d'y entrer, moi aussi. Je souris en retour à cette fille qui me fixait ainsi, puis me mis dans la file à ses côtés. Je l'entendis glousser avec ses amies devant et je ne pus m'empêcher de penser que je leur avais probablement tapé dans l’œil. Une fois n'est pas coutume, l'une d'elles se retourna vers moi et me posa la question que l'on me posait si souvent dès que je marchais dans la rue. Il suffisait d'entrer dans un bureau de tabac ou dans quelconque librairie au moins une fois dans sa vie, et j'y avais droit excuse-moi, tu es baek nolan? Je hochai la tête et elles se mirent à trépigner en poussant des petits cris aigus. La conversation s'était arrêtée là. Parce que les autres de la file avaient commencé à se tourner vers nous, et parce que le vigile avait tourné son regard vers nous. Vers moi, pour être précis. Un léger sourire et il me fit signe de passer devant. Ils se poussèrent et je me hissai jusqu'au vigile qui m'annonça qu'il me laissait entrer – que c'était un remerciement du patron pour emmener du monde dans leur établissement. Ah ? Ils devaient probablement faire erreur … Allais-je m'en plaindre ? Non. Un discret sourire de ma part et j'entrai dans le bâtiment. L'obscurité des lieux ne me dérangeait pas le moins du monde, et alors que je voyais à quel point les jeunes filles perdaient leurs maquillages à force de trop danser, mes narines furent subitement agressées par cette nauséabonde odeur de transpiration. Pouah. Comment dieu faisaient-ils pour réussir à rester enfermés, collés les uns aux autres sans avoir envie de vomir dû à l'odeur trop forte de l'alcool et de la transpiration ? Des résidus de déodorant et de parfum traînaient dans les airs – mais c'était peine perdue. Ça puait grave. C'était insupportable. Je me dirigeai machinalement vers le bar et me penchai à l'oreille de la serveuse pour lui quémander un verre d'eau. Elle arqua un sourcil au dessus de son visage et lorsque je lui offris un magnifique sourire comme je savais les faire, elle céda rapidement en me disant que je restais tout de même sexy en demandant de l'eau. Ouais, okay. Sers moi et ne pose pas de questions, tu veux ? J'engloutis le verre d'une traite, tournant mes yeux vers la piste de danse bondée. Je sentis quelque chose s'accrocher à mon bras, et alors que je tournai les yeux vers la personne qui jouait les sangsues, une seconde vint s'accrocher à l'autre. Elles se fixèrent l'espace de quelques secondes et il ne m'en fallu pas plus pour me rendre compte à quel point elles étaient ivres. Souhaitant éviter un massacre ( même si l'idée de deux filles qui se battent était relativement sexy ), je les embarquai avec moi sur la piste – toutes les deux. Parce qu'en plus d'être deux sangsues, je pense qu'elles étaient aussi en manque. Et il ne serait pas bien compliqué pour moi de repartir avec l'une d'elles – voire les deux. Mais non. Je n'étais pas encore rendu au stade de connard à ce point. Les suivant dans leur danse sensuelles, je fus bien obligé au bout d'un moment de poser ma main sur la hanche de l'une d'elles, provoquant la jalousie de l'autre qui se mit immédiatement à frotter son corps davantage contre moi. D'un point de vue objectif, la vision de nous trois devait être assez … spéciale. Elle le fut encore plus dès lors que d'autres personnes se rajoutèrent – et surtout un homme. Il devait probablement être le petit-ami de l'une d'elles car le regard qui me lança signifiait bien ce qu'il signifiait. Je levai les mains dans les airs. Irrité. Non, je ne m'amusais pas tant que cela, au final. Comment diable les gens pouvaient-il aimer cela, au final ? Peut-être était-ce grâce à l'alcool. Et moi, je ne pouvais pas en ingurgiter. Fallait-il obligatoirement de l'alcool pour s'amuser ? Je soupirai. J'étais lassé. Je me penchai à l'oreille du type en question et m'excusai rapidement pour avoir posé ma main sur sa copine – et lui conseillai au passage de veiller sur elle de plus près – avant de quitter le club.

Après une bonne demi-heure d'hésitation, j'avais enfoncé les clefs de l'appartement dans la serrure, et j'étais entré. La chaleur de mon chez-moi m'avait peut-être un peu manqué – mais le colocataire encore plus. Il devait être à peine une heure du matin. Je n'étais pas vraiment resté longtemps en boite et je n'avais pas traîné avant de rentrer. Pourquoi rentrer ce soir ? Je sais pas. Voir un couple. Voir tous ces gens me faisait me rappeler à quel point j'étais seul. À quel point je ne pouvais pas vraiment renier mon foyer. Ma très chère nourrisse me l'avait dit, aussi. Tu sauras que tu as trouvé ton foyer et ton vrai chez toi, quand tu auras quelqu'un pour t'attendre le soir. J'étais horrible, hein ? J'avais un foyer. J'avais quelqu'un qui m'attendait. Et je le laissais seul. Constamment. Je fis attention à ne pas claquer la porte, puis déposai les clefs sur la table après m'être déchaussé. Ses chaussures étaient là. Vu l'heure qu'il était, il devait probablement dormir. Je n'allais pas le réveiller. Je repartirai avant qu'il ne se lève d'ici quelques heures. J'avais simplement éprouvé le besoin de revenir ici, de le voir. Ou l'apercevoir, du moins. Allais-je m’asseoir dans sa chambre et le regarder dormir ? L'idée était tentante – bien qu'effrayante. Dans l'immédiat, j'avais davantage envie de manger quelque chose plutôt que l'observer pendant de longues heures à froncer les sourcils dans son sommeil. À pas de loup – quelle ironie – j'entrai dans la cuisine et ouvris le frigo. Presque vide. Pendant qu'il sera absent, demain, j'irai chercher de quoi remplir son estomac pour les deux semaines à venir. Il me détestera de l'avoir fait et de ne pas être resté – peut-être même qu'il trouvera judicieux de faire la grève de la faim comme un gosse, mais son envie de me tuer sera tellement grande qu'il ne se laisserait pas mourir. Un sourire en coin vint éclairer mon visage. J'étais détestable. Purement et simplement détestable – mais je ne pouvais pas m'empêcher de veiller sur lui. Avais-je un soucis mental ? Ouais. Pas l'ombre d'un doute. Effectuant un demi-tour dans le but d'aller vérifier qu'il était bien dans son lit et que les couvertures n'étaient pas tombées de son corps ( il faisait froid pour les humains, alors je ne tenais pas à ce qu'il tombe malade. Chose qu'il était bien capable de faire, juste histoire que je reviennes m'occuper de lui, tssss. ) je ne fis pas attention et cognai mon pied dans la table du salon. Ah. Sans même que je n'ai le temps de me rendre compte de ce qu'il m'arrivait, je vis Blaine se dresser sur le canapé avec des yeux encore plus gros que les miens. Je m'arrêtai de bouger. Oh. Putain. De. Merde. Il se leva furibond et marcha en ma direction avec cette aura qui ne me disait rien qui valait. À peine eu-je le temps de sortir la plaquette de chocolat de ma bouche qu'il était devant moi. Essoufflé. Les joues rouges. Quelque chose clochait. Je plissai les yeux. Une, deux, trois, quatre secondes de silence et. Un coup de poing ? En était-ce seulement un ? Ok, Blaine n'était pas bodybuildé et n'avait pas une fantastique force, mais tout de même. Il en avait plus que ça, à la base, non ? Je fronçai les sourcils. Le silence était d'argent, mais alors celui-là était drôlement pesant. Et ce que je redoutais arriva. Blaine en colère ? Bon, c'était relativement rare, quand il l'était c'était toujours pour une excellente raison et – ouais, je la méritais gravement, cette engueulade. Même si mon visage resta figé par la froideur, je me surpris à ressentir un peu de joie dès qu'il annonça s'être inquiété. Pas le temps de se réjouir que je me retrouvai plaqué contre le mur face à un asiatique en colère. Dans un autre contexte, cela aurait pu être tellement sexy et tellement me plaire mais, hah, dans l'immédiat cela ne réussit qu'à faire naître une certaine réaction nerveuse en moi. Cette réaction nerveuse ? L'agressivité. J'étais devenu agressif avec lui, en quelques sortes. C'était toujours plus fort que moi. Et je m'en voulais toujours. Mais je ne réussissais jamais à m'en empêcher. Je déversai sur lui, la colère que je ressentais à mon propre propos. Si c'était pas stupide, ça. J'haussai les épaules dès qu'il me demanda si c'était lui que je fuyais. peut-être bien étais-je sur le point de répondre dès qu'il continua sa phrase … pour sortir la plus belle connerie qu'il n'ai jamais dite. Non, sérieux, il croyait vraiment à ce qu'il venait de dire ? Un râle rauque s'échappa de ma gorge et je le repoussai par l'épaule en souriant narquoisement, provocateur. « Qu'est-ce que tu me fais, là. Je suis pas mort, okay ? Lâche moi un peu. » ah, nolan, t'es qu'un connard. « Pas b'soin d't'inquièter pour moi, j'suis grand, j'me démerde tout seul. » bon, d'accord, j'étais trop heureux qu'il se préoccupe de moi pour faire un paragraphe plus long que cela pour lui dire de ne plus s’inquiéter, réellement. Je coupai des carrés de chocolat entre mes doigts et lui enfournai dans la bouche sans lui poser de questions. « Déstresse, là. Tu t'prends trop la tête. R'garde moi ça, tu pionces sur le canapé tellement t'es crevé, là. T'as pas un lit ? T'as pas des couvertures et un matelas bien mieux que ça, là ? Hein ? Hein ? Occupe-toi d'tes affaires. T'es pâle comme un linge et t'as les joues rougies, là. T'as même pas de force et … » Je plissai les yeux, me rendant compte des symptômes que je décrivai. « hé, si t'es malade, j'te tue, Blaine. » l'attrapant par le pan de son tee-shirt, je l'approchai violemment de moi et posai mes lèvres sur son front. Je fermai les yeux quelques secondes et le verdict fut fatal. Je les rouvris et collai mon front contre le sien, serrant toujours le tissu entre mes doigts, je fronçai les sourcils et parlai d'une voix dure. « Putain mais t'as traîné où encore, là ? T'as d'la fièvre, t'es malade, et t'oses encore me faire la morale ? Quel culot. »

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Bae Blaine
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MessageSujet: Re: you give me something. ❞ feat. nolan ♥.   you give me something. ❞ feat. nolan ♥. Rapons10Lun 15 Oct - 15:29


déstresser ? alors qu’il venait de lui reprocher de dormir sur le canapé du salon ? pour blaine, c’était une blague que son colocataire venait de lui sortir, ou du moins, il l’espérait que s’en était une. Après un reproche, voilà qu’une menace sorti de la bouche du plus vieux mais heureusement pour lui, blaine prit cette petite menace de façon ironique. le jeune garçon voulu rétorquer et envoyer balader son aîné mais il n’eut même pas le temps d’ouvrir la bouche que le jeune garçon c’était retrouver collé à son aîné, sans réellement comprendre ce qu’il c’était passer. blaine était bien trop fatigué pour comprendre ce qu’il lui arrivait c’est pour cette raison que le garçon fit de gros yeux en voyant son aîné coller son front au sien. blaine n’avait pas peur de son ami, habituellement du moins, mais cette fois-ci, il était quand même plus ou moins effrayer. il était surpris tout en étant faible d’esprit. Il dégluti puis recula son visage de celui de son aîné et le fixa. « c’est ta faute ça ! j’aurais pas eu l’esprit ailleurs, j’aurais pensé à prendre mes affaires avant de partir du boulot ! ». le jeune garçon se retira de l’emprise de son aîné et retourna s’assoir sur le canapé lentement.

bien qu’il se doutait être tombé malade, il se demandait quand même pourquoi avait-il aussi chaud mais surtout, pourquoi son cœur battait aussi vite. énerver de cette situation, blaine se donna quelques coup sur la poitrine puis il soupira en se laissant tomber en arrière. le jeune américain se retrouva à nouveau allonger sur le canapé, il se mit à observer le plafond. « t’es pas mort t’as dit hein ?.. mais justement, si tu te serais fait tuer durant cette semaine, comment j’aurais fait moi, tout seul plus tard ? ». sur ces mots, blaine se redressa et observa nolan. Il avait peur et ça se voyait. non pas qu’il avait peur de nolan en lui-même, mais plutôt, ce qu’il redoutait c’était de le perdre lui. Bien que nolan était immortel, ça n’empêcher certainement pas un vampire mal attentionné de s’en prendre à lui et qui sait, de le tuer si il en avait envie non ? blaine était conscient de ça, il envisager toutes les pires horreurs aux sujets de son ami lorsqu’il était inquiet pour lui. blaine était connu pour sa fragilité mais aussi pour sa facilité à s’affoler pour un rien. Il était difficile de calmer un garçon comme lui lorsqu’il commence à imaginer n’importe quoi. « je veux savoir pourquoi t’es partie sans rien dire.. je veux vraiment savoir tu sais. » il baissa la tête en déglutissant, posant ces bras sur ces cuisses. « je me fiche que tu sois capable de te démerdé tout seul, tu agis de façon égoïste nolan.. tu pars sans rien dire et tu reviens sans rien dire également.. ». le jeune garçon frotta son visage dans ces mains et soupira lourdement avant de relever la tête et fixer à nouveau nolan. « je veux savoir à quoi tu joues exactement. ça t’amuse de venir et partir comme ça ? ça t’amuse de me rendre dingue et de me faire paniqué autant ? »

blaine fronça les sourcils, la colère remontait et il n’arrivait pas à se calmé. le jeune américain était impuissant face à nolan. s’il le pouvait, il essayerait de faire du mal à son ami mais au fond, il en est incapable. non pas qu’il soit trop gentil ou faible pour ça, mais faire du mal à nolan serait plus douloureux pour lui-même que pour son ami. « en fait, je sais pas pourquoi tu réagis comme ça et même si tu me disais la raison, ça me servirait à rien vu que tu continuerais à partir comme un voleur ». blaine était habituellement souriant mais depuis quelques temps, son visage n’affichait plus aucune expression. blesser et déçu par nolan, le jeune homme n’avait ni l’envie ni la force de sourire. il était froid et agressif, s’ajouter à ça sa fièvre qui ne faisait que le rendre un peu plus vulnérable. il détestait être ainsi, aussi pitoyable. « tu peux repartir maintenant tu sais, je me débrouillerai.. »


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MessageSujet: Re: you give me something. ❞ feat. nolan ♥.   you give me something. ❞ feat. nolan ♥. Rapons10Lun 15 Oct - 20:40


J'eus un hoquet de surprise que je dissimulai dès que je croisai son regard. Qu'était-ce donc ? De la peur ? Blaine, avait peur ? … Bon, d'accord, c'était un gosse un peu trop frêle et fragile, ce n'était probablement pas la première fois qu'il avait peur – tout le monde avait peur de quelque chose de toutes façons. Mais, corrigeons mon interrogation : Blaine avait peur … de moi ? J'eus un blanc de quelques secondes pendant lesquelles mon cerveau se vida entièrement, puis fut de nouveau frappé par la réalité dès lors qu'il recommença à prendre la parole. ferme là, blaine. je te fais peur, moi ? tu as peur de moi? était ce que j'avais envie de lui cracher à la gueule sans émotions ni sentiments – histoire qu'il ait encore davantage peur, c'est ça, Nolan ? Pauvre mec. C'était ma faute, c'était ma faute. Tout était posé sur mes épaules, d'un coup. Le pire ? C'était que c'était vrai. Mais je ne voulais pas le voir, je ne voulais être coupable de rien. J'étais coupable de rien. Ou peut-être de quelque chose : de mon caractère de merde parce que je ne savais pas comment réagir à mes sentiments. D'ailleurs, j'aurais préféré être aveugle jusqu'au bout et ne pas vouloir voir que l'envie que je ressentais à l'idée de le tenir dans mes bras n'était pas simplement une forte amitié. Et puis, lui aussi. Il ne comprenait rien à rien. C'était pénible. J'avais envie de le prendre par les épaules et le secouer jusqu'à ce qu'il comprenne. Mais non, bien sûr. Quand bien même il saurait, quand bien même il comprendrait – il fuirait. Je préférais fuir à sa place. C'était stupide. Mon 'plan' ne mènerait à rien. Mais je n'avais pas vraiment de plan, de toutes façons. L'impulsivité, voilà ce que c'était. Et, franchement ? C'était de la merde. Je le regardai retourner s’asseoir sur le canapé d'un air affligé. C'est ça … pars et laisse moi. Il se frappa le torse à plusieurs reprises et je plissai les yeux. Quoi. C'était quoi, ça, hun ? … Il s'affala sur le canapé et je croisai les bras sur ma poitrine en m'appuyant sur le mur, le fixant avec intensité. Il avait peur ? Il était effrayé par moi ? Quelle mauvaise blague. Je croyais rêver. Puis il parla en regardant le plafond – cela ressemblait presque à un murmure et sa voix semblait profondément imprégnée d'une inquiétude non-dissimulée. Il se demandait réellement ce qu'il allait faire sans moi ? Si je mourrais ? Je baissai le visage vers mes bras, un léger sourire ayant pointé le bout de son nez sur mes lèvres. On se posait la même question, alors. Le problème était que lui n'avait pas à s'en faire à mon sujet. Moi, par contre … L'idée que j'allais garder mon physique alors que lui allait vieillir puis mourir – c'était une toute autre réalité. Mon sourire s'évada aussitôt que je songeais à cette chose. La mort. Je n'avais pas peur de la mort. Pas pour moi, du moins. Il se redressa, m'observa, et je tournai la tête sur le côté, comme si le sol était bien plus passionnant que les doux traits de son visage. Je lui en voulais, un peu. D'être aussi parfait. D'avoir un visage si pur, si innocent. De me donner tant d'envies diverses et contradictoires. Combien de fois m'étais-je surpris à fantasmer sur son corps ? Un rire rauque retentit dans ma gorge alors que ces pensées traversèrent de nouveau mon esprit. Beaucoup trop de fois pour que je puisse lui expliquer la réelle raison de mon départ. Pouvais-je seulement réellement le lui dire? Je suis parti, parce qu'à chaque fois que tu dors dans la pièce d'à côté pendant que je suis condamné à un éveil éternel, j'ai envie de venir à tes côtés. et pas pour dormir, ou pas pour te serrer dans mes bras. parce que je suis progressivement devenu fou de toi, et que je commence à éprouver un sérieux désir à ton égard, et je m'en veux énormément. je peux plus respirer le même air que toi, parce que ça me rend dingue. ça me rend dingue l'idée que tu ne pourras jamais me voir, comme moi je te vois. Non, bien entendu. Je ne pouvais pas.

Je croisai son regard alors qu'il continuait de parler. Quelle insatiable pipelette. Plus que lui répondre, j'avais juste envie d'écraser mes lèvres contre les siennes. Un baiser était le meilleur moyen de tout dire, en ne prononçant pas un mot – m'avait-on dit. Ce serait tellement tout simple de tout lui dire. Je n'aurais plus à me creuser la tête pour quitter le logis, à vagabonder dans la rue … Mais d'un autre côté, j'allais perdre Blaine. Et rien que pour cette seule et unique raison, je préférais mille fois continuer à traîner mon cœur en lambeaux et à souffrir comme je le méritais plutôt que m'y risquer. Évidemment, il ne fallait pas qu'il continue à me regarder avec ce regard de torturé ou j'allais finir par y céder. Cela faisait trop longtemps que je ne l'avais pas vu – en un claquement de doigt, il allait me faire plier. Et c'était une mauvaise chose. Il fallait que je retournes dehors. Finalement, j'aurais peut-être préféré me battre avec des pauvres mecs en boite plutôt que revenir ici et affronter le courroux de celui que j'aimais. « blaine ... » je murmurai en gémissant. Qu'il arrête de poser ses yeux sur moi, qu'il ne s'inquiète plus. J'allais bien. Qu'il n'ait pas l'air si triste, c'était stupide. Je le faisais souffrir, un peu ? Mais c'était pour la bonne cause, non ? C'était pour lui, pas pour moi. Je ne faisais pas ça de gaieté de cœur. Je ne voulais pas … je me raclai la gorge, me décolant du mur et venant m'asseoir près de lui avec une fausse assurance. « j'comprends pas pourquoi ça t'ennuie autant. Tu le sais que j'suis pas mort. C'est pas vraiment comme si je pouvais crever, comme ça, en me laissant faire, sans rien dire. Tu l'sais. » je tournai mon visage vers lui, passant mes doigts dans ses cheveux sans jamais regarder ses yeux, en m'occupant de lui sans trop en être proche. Parce que qui savait ce que je pouvais faire par impulsivité, par envie. « je vois à quel point tu sais te débrouiller seul. Regarde moi ça. T'es tombé malade. » articulai-je en descendant ma main sur son front. Je laissais quelques secondes s'écouler sans rien dire, effleurant ses joues de mes doigts tout en baissant les yeux. Il ne fallait pas que je le regarde. Il ne fallait absolument pas que je croise son regard. Ou il allait soutirer de moi tout ce qu'il voulait entendre. « non, ça ne m'amuse pas de te faire paniquer, ou de t'inquiéter. Mais tu sais comment je suis – et donc, tu sais que tu n'as aucune raison de te mettre dans de tels états pour moi. Je vais bien, et j'irais toujours bien. Et puis, tu ferais mieux de t'occuper de toi. » Sur ces mots, je me relevai et partis immédiatement dans la cuisine à une vitesse plus ou moins accélérée. J'attrapai une tasse, du café, et le fit chauffer. Bon, boire du café maintenant n'était peut-être pas la meilleure idée que j'ai jamais eue, mais quand on était malade, il fallait boire quelque chose de chaud, réchauffer le corps, un peu. Et malheureusement, je n'étais même pas dieu capable de le tenir dans mes bras pour augmenter sa chaleur corporelle. Non, moi, j'étais un glaçon. Un putain de glaçon totalement inutile. Je n'aurais su dire si c'était parce que j'avais hâte de le retrouver ou non – mais cela me parut durer des heures. Quand enfin il fut assez chaud, j'y ajoutai de la crème et du sucre – incertain. Je n'étais même plus sûr de savoir comment il le buvait. Au pire, il me le jetait au visage. J'attrapai la tasse et la déposai sur la table basse devant lui, l'évitant toujours du regard. « j'vais t'chercher des médicaments, si tu bouges, je te tue. » bien entendu, c'était une manière de parler. Jamais je ne le tuerai réellement, c'était stupide de penser que je le ferais, mais je voulais être assez convaincant pour que son excès de rébellion ne se fasse pas trop sentir, une fois de plus. J'allai dans la salle de bain, attrapai la poche de médicament et retournai au salon m'affaler à côté de lui. Je fouillai parmi les boites en cartons et en attrapai quelques unes que je croyais reconnaître pour le mal de crâne et la fièvre puis attrapai des gélules que je mis dans la paume de ma main. Je me tournai vers lui et croisai son regard fiévreux. Un frisson parcourut le long de mon échine et j'en plaçai une entre mes doigts avant de la porter à ses lèvres. « okay, si tu prends ça et si tu es sage, alors je te dirais. » mensonge ? Oui. La fin justifie les moyens, non ?

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MessageSujet: Re: you give me something. ❞ feat. nolan ♥.   you give me something. ❞ feat. nolan ♥. Rapons10Mar 16 Oct - 13:47


nolan ne comprenait pas la réaction de blaine ? c’était pourtant pas compliqué à deviner. certes, blaine n’en avait certainement pas conscience actuellement mais au fond de lui, il sentait bien qu’il était loin de considéré nolan comme un simple ami. ah, c’était bien dur pour le plus jeune de supporter l’absence de son aîné mais c’était aussi très dur de le voir en face de lui et de ne pas comprendre ce qui lui arrivé. puis, c’est quoi cette façon ironique que nolan avait de dire que blaine était pas capable de se débrouiller tout seul ? si il était tombé malade ce jour-là, c’était purement de la faute au plus vieux. si le jeune américain serait moins obsédé par nolan, il aurait certainement agit autrement et il ne serait pas tombé malade. blaine était perdu, il voudrait se mettre à détesté nolan mais il n’y arrive pas, il le regarde s’éloigner dans la cuisine et la seule chose qu’il trouve à faire, c’est observé le moindre de ces faits et gestes. il pourrait très bien s’énerver à nouveau contre lui, mais non. il restait assis à l’observé, ne disant rien. l’aîné revint vers le jeune malade et déposa la tasse face à lui. passage éclair puisqu’il reparti aussi tôt vers la salle de bain pour aller chercher des médicaments avait-il dit. blaine l’observa s’éloigner à nouveau après quoi il prit la tasse poser sur la table basse et bu le breuvage que lui avait préparé nolan. au bout de deux gorgées, un léger sourire s’afficha sur les lèvres du garçon. décidément, nolan le connaissait bien, il le connaissait au point de savoir comment blaine aimer son café ou alors, ce n’était qu’un pur hasard ? quoi qu’il en soit, le sourire s’effaça lorsque le plus vieux des deux garçons réapparu.

nolan vint s’assoir à nouveau aux côté blaine et farfouilla dans la trousse de médicament. blaine, toujours aussi observateur le regarda avec attention, parfois même, il resté bêtement en train d’observé les traits de visage de son ami mais il fut vite sortie de son esprit lorsque nolan prit la parole et lui porta une gélule aux lèvres. « j’aime pas prendre de médicament ! puis c’est quoi ce chantage ?!». blaine agita rapidement sa tête de gauche à droite pour éviter le médicament. chose sure, il était bien capricieux en plus d’être faible et naïf. le jeune garçon afficha une mine boudeuse sur son visage et reprit aussi tôt la parole, ne laissant même pas le temps à nolan de rétorquer. « je prendrais des médicaments pour me soigner seulement si tu me dis tous maintenant ! ». chantage ? oui. blaine ne supportait pas qu’on lui en fasse mais il ne se gênait pas pour en faire aux autres. Soudainement, il soupira longuement puis vint poser sa tête sur l’épaule de nolan. il ferma les yeux un instant puis les ré ouvrit la minute suivante. « dis.. je sais que tu me fuis au fond de toi mais j’arrive pas à comprendre pourquoi, ça devient fatiguant tu sais ? ». blaine redressa sa tête et observa son ami dans les yeux. Un silence pesant s’installa dans la pièce, blaine finit par détourné le regard observant finalement le couloir sombre qui menait à la chambre du jeune malade. perdu dans ces pensées, le garçon avait l’air calme mais au fond de lui, il avait mal mais ne comprenait pas pourquoi. il s’énervait contre lui-même mais bien sûr, il essayait de dissimulé sa colère au maximum, histoire de ne pas alarmé nolan.

il se releva d’un coup puis d’un pas décidé, il titubait légèrement et doucement jusqu’à sa chambre. une fois dans la pièce, il senti la colère reprendre le dessus mais sous forme de larmes, il ne fallut pas beaucoup de temps pour qu’elles se mettent à coulées sur ces joues rosies. il ne comprenait pas pourquoi il pleuré, il ne comprenait plus rien. Décidément, ça ne lui aller pas d’être malade, il essuya ces larmes avec la manche de sa chemise et souffla un bon coup après quoi, il retourna au salon. il s’avança vers nolan et se mit debout face à lui. il l’observa à nouveau durant un moment puis il dégluti et prit la parole. « un jour je serais capable de te rejeté tu sais ça ? » il fronça les sourcils, essayant d’empêcher les larmes de montées à nouveau. il se racla la gorge. « un jour j’y arriverai mais.. actuellement, j’en suis incapable.. » le jeune garçon s’éloigna de son aîné et partie en direction du couloir menant à sa chambre puis il se retourna vers nolan une dernière fois. « je sais plus quoi faire nolan.. ça devient trop compliqué pour moi maintenant. »

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MessageSujet: Re: you give me something. ❞ feat. nolan ♥.   you give me something. ❞ feat. nolan ♥. Rapons10Mar 16 Oct - 23:45


Je soupirai en laissant tomber ma tête entre mes jambes, les coudes posés sur mes cuisses. Blaine était fatigué ? Bien … cela tombait plutôt bien, parce que moi aussi. J'avais passé une semaine à marcher droit devant moi, à sillonner les rues de Séoul en perdant le goût de la vie un peu plus à chaque pas – la dernière chose dont j'avais envie, c'était de rentrer chez moi et de tomber nez à nez avec un colocataire furax et malade qui insistait pour savoir le pourquoi du comment de tout ce qu'il se passait entre nous. Enfin. Il se passait quoi, entre nous ? Rien. Il n'y avait plus rien à part déchirure et souffrance. Plus rien à part de la douleur. Lorsque je songeais à cet homme, j'étais envahi d'un sentiment de joie, de bonheur, et j'avais l'impression que ma vie était complète à ses côtés – mais depuis quelques temps, lorsque je songeais à ce garçon, toutes mes pensées se brouillaient. J'y voyais noir. J'y voyais douleur et souffrance. Je n'y voyais plus rien de positif, pas de négatif pour autant – mais juste un tas de complications qui ne s’effaceraient pas en un claquement de doigts. Des conneries qui allaient me prendre la tête … jusqu'à ce qu'il sache tout, au final. Et une fois qu'il saurait tout ? D'autres emmerdes. Chercher un nouvel appart, chercher une nouvelle raison d'avancer le matin … recommencer sa vie à zéro. Ou bien, je cherchais à ne plus m'attacher à personne et je vivais mon éternelle vie seul. Ouais. Ça c'était un bien meilleur plan. Je soupirai alors qu'il posait sa tête sur mon épaule. Je relevai le visage, pris le temps d'observer ce visage que je connaissais par cœur. Ces longs cils recourbés, son nez fin et droit et surtout ses lèvres, ses si fines et pulpeuses. Cette si jolie bouche que j'avais furieusement envie de faire taire, ce soir. Elle me disait trop de choses que je ne voulais pas entendre, me mettait sous le nez trop de choses que je passais mon temps à fuir pour accepter qu'il ne continue davantage à me rappeler mes erreurs. dis.. je sais que tu me fuis au fond de toi mais j’arrive pas à comprendre pourquoi un léger sourire vint s'installer sur mes lèvres, moi non plus avais-je envie de lui répondre. Bien sûr que je le savais mais, au fond, était-il réellement capable de ne pas comprendre mes sentiments ? Était-il réellement capable de comprendre que dès que je l'entendais se doucher, je haussai le son de la télévision pour empêcher que mes pensées ne se tourne un peu trop vers un corps dénudé qui se trouvait à, quoi, même pas dix mètres de moi ? Pour empêcher que ce côté pervers et malsain ne vienne trop occuper mon esprit ? Que je voyais ça d'un très mauvais œil, ce que je ressentais, puisque je le connaissais depuis qu'il était gamin. Nous avions passé toute notre vie ensemble, j'avais essuyé ses larmes quand il pleurait pour ses conquêtes ratés, j'avais pansé ses blessures quand il saignait – j'avais passé tout mon temps à me trimbaler avec un masque de tissu sur la face afin d'éviter que la trop grande odeur de sang ne s'imprègne en moi comme une drogue, histoire que je ne lui saute pas dessus. Nos corps avaient grandis et s'étaient transformés en même temps. Je connaissais tout, absolument tout de lui. Et la seule partie que je ne connaissais pas, celle qui était réservée à son petit-ami, j'avais furieusement envie de la connaître. J'avais envie de le posséder tout entier – et ce n'était pas normal. Ça ne l'était pas. Je ne répondais pas à sa question, et il se contenta de regarder le couloir. Vers sa chambre. Oui, il était davantage judicieux qu'il aille se coucher et que l'on parle de cela à tête reposée demain matin – mais cèdera-t-il si facilement ? Non, probablement pas. Il pensera sans doute que je profiterais du fait qu'il soit endormi pour me tirer en douce, comme je l'avais fait la semaine passé. Il se méfiait de moi, à présent. Il ne me faisait plus confiance, et il avait peur. Bravo, nolan. T'étais vraiment le plus gros connard que l'univers ne connaîtra jamais. Alors, heureux ? Très.

Je me relevai par réflexe dès lors que je le vis tituber pour atteindre sa chambre. Une main dans les airs, tendue vers lui comme si je pouvais le rattraper, je le regardais s'éloigner sans rien faire autre que soupirer. Le manège avait assez duré, non ? Avec un peu de chance, il se réveillerait demain matin en ayant tout oublié parce qu'il délire avec les fièvres, et je pourrais agir comme si de rien n'était. J'avouais que je ne m'attendais pas à un grand saut dans les bras dès lors que j'aurais passé le pas de la maison, mais j'aurais espéré ne pas avoir droit à un savon immédiat. Histoire de fuir encore un peu plus longtemps tes responsabilités, Nolan, c'est ça, hein ? Oui, c'était exactement ça. Au fond, j'étais lâche et je m'en foutais parce que c'était quelque chose que j'assumais parfaitement. Mais là … en voyant mon petit garçon fragile en pâtir sérieusement, je commençais à avoir des remords. Et si j'avais tout fait à l'envers ? Et si, en voulant le protéger de moi, je lui avais fait bien plus de mal encore ? Avec des 'et si', on refait le monde, comme on dit. Mais alors que le doute se manifestait à mon esprit, j'entendis sa voix m'annoncer la plus cruelle des nouvelles. Me rejeter. Moi ? Mon cerveau s'arrêta de fonctionner l'espace de quelques minutes, et je secouai la tête. Avais-je bien entendu ? Je plissai les yeux, et c'est là que je les vis. Ses yeux rouges. Embués de larmes. Larmes qui avaient déjà coulés et qui menaçaient de rouler de nouveau sur ses joues. Il disait en être incapable pour l'instant, mais cela ne me rassura pas davantage. Il avait peur de moi – et il pleurait ?! Foutredieu du ciel. J'avais adopté la mauvaise technique et il fallait vraiment, vraiment que je trouve une solution à tout cela, et vite. Faute de quoi, j'étais probablement capable de réellement mettre fin à mes jours. Je tendis le bras vers le sien, mais il tourna le dos et repartit en direction de sa chambre. Me regardant une ultime fois avant de passer la porte. Je ne sais pas quoi faire de plus que toi, Blaine... Qu'attends-tu de moi ? La vérité, rien que la vérité et toute la vérité ? Le puis-je seulement ? Peux-tu simplement m'assurer que ce ne sera pas toi qui me fuira, après cette dite vérité ? Peux-tu me le jurer, Blaine … ?

Après quelques longues minutes d'hésitation, je marchai en direction de sa chambre. Qu'allais-je faire ? Dire ? Pas la moindre idée. Mais, d'une certaine manière, j'avais l'impression qu'il fallait que j'aille avec lui, que j'aille le voir. La porte était restée ouverte, alors je ne me posai pas de questions avant d'entrer, et attrapai Blaine par le poignet avant de le plaquer contre le mur, sans ménagement. Je me mordis l'intérieur de la joue et gardai ma main enserrée autour de son poignet, collé contre le mur froid de sa chambre. Mon corps collé au sien, je refoulais les milliers de frissons qui traversaient mes épaules et ma nuque tandis que mon souffle faisait voler les mèches de cheveux de Blaine sur ses oreilles. Mes lèvres près de ses pommettes, je parlai en une voix calme et posée alors que ma main de libre se posait sur sa hanche. « peux-tu m'assurer, blaine, que tu ne partiras jamais si je te parle de mes raisons ? » putain, nolan, mais qu'est-ce que tu fous. Retire ça de suite. « crois-tu seulement être capable d'entendre ce que j'ai seulement à te dire, blaine ? » merde, merde, merde, non, tu n'as pas le droit, tu peux pas lui dire ça, comme ça. pas maintenant, pas dans ces conditions. retiens toi. « parce que je pense que tout le monde a dû finir par comprendre. tout le monde, sauf toi. » ma main se resserra sur sa hanche alors que je tournai légèrement ma tête sur le côté, laissant mes lèvres toucher sa peau avant d'articuler pour la dernière fois. « ... et c'est frustrant, pour moi. » putain.


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MessageSujet: Re: you give me something. ❞ feat. nolan ♥.   you give me something. ❞ feat. nolan ♥. Rapons10Jeu 25 Oct - 15:24


L’amour n’est pas l’amour s’il fane lorsqu’il se trouve que son objet s’éloigne. Quand la vie devient dure, quand les choses changent, le véritable amour reste inchangé.

il avait mal ? bien sûr que oui. se retrouver plaquer contre le mur de sa propre chambre face à nolan était loin de l’enchanté. la pression de la main de son ami sur son poignet lui faisait mal mais la douleur qu’il avait au cœur était plus douloureuse encore. est-ce des larmes montreraient les réels sentiment de blaine envers nolan ? est-ce que rejeté sa colère sur le vampire serait mieux ? ou alors, garder le silence serait-il préférable ? le jeune garçon n’en savait rien. il ne savait quoi faire face nolan. il était tellement distant mais aussi tellement imprévisible, rien était en faveur du plus jeune. le vampire avait mal choisi son jour pour faire son retour. un jeune blaine malade et énerver, voir même triste, c’était loin d’être une bonne chose. dieu seul savait si les choses allaient bien se finir ou pas. blaine était sonné mais surtout perturbé. nolan se collait à lui et c’était pas quelques chose de déplaisant pour le cadet, certes, mais dans de telles circonstances, c’était pas si bien qu’on peut le croire. la voix de nolan infligée certaines sensations au plus jeune, sensations qui le bloqua automatiquement, l’empêchant de partir de cette emprise. il était bloquer, il n’avait aucune issues. tête baisser vers le sol, une légère douleur au poignet, la froideur du corps de nolan contre le sien, il restait de marbre, écoutant attentivement chaque mots qui sortaient de la bouche du beau vampire. pourquoi avait-il des craintes ? pourquoi demander à blaine si il aller fuir ou non ? plus le temps passait, plus les choses s’embrouillés dans le cerveau du jeune foudroyé. et puis non, au final, il y eu cette seconde de vide lorsque nolan posa ces lèvres sur la peau du plus jeune. une seconde, une toute petite seconde d’apaisement. ces mots.. ces lèvres. tout était clair d’un seul coup. trop clair même.

qui prouvera au garçon qu’il n’est pas en crise de délire ? qui va prouver au petit malade que ce qu’il sent et entend n’est pas sortie de son imagination ? personnes. seul blaine lui-même pouvait se prouver que tout était réel mais ça l’effrayer. pas énormément, mais il avait quand même peur. les choses venaient de s’éclaircir dans sa tête mais c’était tellement difficile d’y croire. trop de questions, agit en circonstance mon petit, allez, tu peux le faire se disait-il. il quitta soudainement le sol des yeux pour les ramenés dans ceux de nolan en le repousse doucement. non pas qu’il avait peur de la personne face à lui, bien au contraire. en réalité, il avait peur de lui-même, il avait surtout peur de commettre une erreur. « comment ai-je pu être si idiot ? » ils n’étaient qu’à quelques millimètres l’un de l’autre et pourtant, blaine avait l’impression que nolan était loin de lui, trop loin. « j’ai été idiot mais j’avais bien raison au final.. tu cherchais à me fuir. » blaine, le garçon heureux dans la vie de tous les jours, était blessé mais au fond, quelques chose en lui fit en sorte qu’un léger sourire s’afficha sur son visage, comme si il essayer de rassurer nolan face à lui. il se forçait à sourire certes mais il préférait se forcé plutôt que garder un visage sans expression. « tu sais, un jour, j’ai rencontré un garçon à l’aéroport puis, tu sais, lui et moi, on était complètement opposé et pourtant.. » oh blaine, la carte du passé est-elle une bonne chose ?.. pas sûr mais tant pis. « ..et pourtant, malgré que tous nous opposé, j’ai grandis avec ce garçon. il te ressemblait d’ailleurs.. et je vais te dire, il y a quelques temps, je suis tombé amoureux de ce garçon.. » il s’arrêta, comme si quelques chose le bloquait, comme si on s’amusait à le torturé de l’intérieur, cependant, il essaya tout de même de se forcer à dire la suite, s’avançant très lentement vers nolan. « le garçon, il était comme toi il y a quelques semaines.. aujourd’hui, tu es loin d’être comme lui. j’aime le garçon que j’ai connu y a longtemps.. » le face à face, est-ce la meilleure des solutions ? peut être bien.

blaine se retrouva face à nolan, il posa une de ces mains sur le torse froid du vampire, penchant la tête sur le côter en l’observant droit dans les yeux. il appuya sa main sur son torse, le forçant à reculer. « tu es devenu le contraire du garçon pour lequel je suis tombé amoureux. tu es détestable aujourd’hui et tu le seras peut être encore demain mais… » recule encore un peu, encore un petit peu se disait blaine, puis voyant que nolan était arriver au pied du lit, le cadet poussa le vampire dessus en l’observa. blaine restait debout face à son aîné qui c’était retrouver assis au pied du lit. le plus jeune vient poser chacune de ces mains sur les épaules de nolan après quoi il approcha son visage du sien. « tu peux être détestable demain mais ce soir, je te l’interdit. je te l’interdit parce que même si j’ai été idiot, ce soir, je vais arrêter de l’être.. » il tremblait, son cœur battait tellement vite qu’il aurait pu s’arracher de sa poitrine mais il s’en foutait de tous ça. pour la première fois de sa vie, le jeune américain reniait presque tous ces principes et tout ça pourquoi ? pour le garçon qu’il avait aimé inconsciemment durant ces derniers mois. il était naif, innocent, voir même trop innocent mais à partir de maintenant, qui aller dire qu’il est un garçon innocent ? .. il restera peut être pur mais pas innocent.. en cinq seconde, son innocence allait partir en fumer. la première seconde, il soupira légèrement. la deuxième seconde, il fixa nolan dans les yeux. la troisième seconde, il commença a rapprocher un peu plus son visage. la quatrième seconde… il captura ces lèvres.. un baiser doux et chaste mais pour la dernière seconde, il baissa la tête vers le sol, quittant le regard du vampire et laissa échapper doucement, à la limite de la discrétion en signe de timidité, quelques mots. « je.. t’aime.. je t’aime parce que je suis un idiot.. » cinq secondes. il n’aura fallu que cinq seconde à blaine pour dire adieu à son innocence face à nolan.


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MessageSujet: Re: you give me something. ❞ feat. nolan ♥.   you give me something. ❞ feat. nolan ♥. Rapons10Sam 27 Oct - 0:36


Au fond, je l'avais bien mérité. Il me repoussa et je soupirai, étant forcé d'admettre que je l'avais bien cherché, après tout. Qu'est-ce que je croyais, au juste ? Que je pouvais rentrer comme ça, lui parler comme si de rien n'était, agir comme le protecteur que j'étais, et le coller comme ça, à deux doigts de dire ce que je pensais réellement ? Quelle blague. J'étais vraiment con. Je tournai la tête sur le côté alors qu'il recommençait à me faire une petite crise. Comment-il pu être idiot ? J'eus un léger sourire en coin, moqueur. Moqueur envers moi-même. J'étais le plus idiot des deux – et le voilà qui prenait tout le blâme sur ses épaules. Si tout cela n'avait pas été aussi compliqué, j'aurais aimé le faire taire avec un baiser. Mais c'était sinueux, et je ne pouvais pas faire tout ce que mes pulsions me dictaient. J'avais osé y céder une fois en l'emprisonnant contre moi, et il m'avait repoussé. C'était pourtant clair. Ne plus jamais suivre mes envies. Je l'avais fait une fois, et le résultat m'avait donné envie de sauter par la fenêtre – dans le cadre où j'avais pu mourir si je le faisais. Il prononça cette seconde phrase et je secouai la tête négativement, tout doucement. Je voulais ouvrir la bouche, lui dire qu'on pouvait croire que je le fuyais, mais que non. Qu'au final, je me mettais volontairement à l'écart afin de ne pas l'embarquer dans mes stupides sentiments, mais aucun son ne sortait du fond de ma gorge nouée. J'avais l'impression qu'un poids m'empêchait de parler. Mes sourcils se froncèrent d'eux-même par réflexe. De colère, d'incompréhension, surtout – et de tristesse aussi. Ce discours sonnait la fin de toute amitié possible avec lui, n'est-ce pas ? Finalement, j'avais tout foutu en l'air et il allait m'annoncer un truc genre 'ne soyons plus colocataire, hors de ma vue' et tout ça ? Je commençais sévèrement à paniquer à cette idée. Je l'avais bien cherché, je l'avais mérité, et s'il me plantait un pieu dans le cœur, là, de suite, alors c'était bien fait pour ma peau. Seulement voilà. Je n'en avais aucune envie. Je ne voulais pas être séparé de lui. J'étais à bout de forces, moi aussi. Comment avais-je tenu sans pendant une semaine ? En perdant ma tête, mon esprit, ma conscience. J'avais oublié notion du temps et de l'espace. Et quand bien même, mes pas m'avaient ramené ici. Chez moi. Chez lui. Chez nous, en fait. Et je n'avais pas envie de ne plus appeler mon chez moi, chez nous. son sourire m'aurait glacé le sang s'il ne l'était pas déjà, et j'attendais patiemment le moment fatidique où il m'ordonnerait de déguerpir vite-fait avant de me tuer pour de bon. Je pensais qu'il me ressortait le coup de notre passé pour mieux me dire combien je le dégoûtais à présent – et j'avais presque raison. Je soupirai d'apaisement l'espace d'une seconde lorsqu'il avoua que l'on était radicalement opposé mais que pourtant … je profitai de l'air dans mes poumons en attendant avec une patience non-négligeable l'heure de ma fin de vie. Puis alors qu'il continuait à parler, un vide se forma dans ma tête. Du blanc. Plus rien. Tous mes sens se coupèrent soudainement et sa fin de phrase retentit dans ma tête de la même manière qu'un écho se prolongeait inlassablement. Mon souffle se coupa, mes muscles se tendirent immédiatement et mes yeux s'écarquillèrent sans ne plus bouger. Pendant de courtes mais si longues secondes, j'avais l'impression d'être dans une autre dimension, un monde parallèle. Un monde inconnu dans lequel mes désirs devenaient réalité. Un espace dans lequel une phrase que je n'aurais jamais espéré entendre de sa bouche se répétait en boucle comme un disque rayé qui repasse sans cesse le même passage.
Mon passage préféré.
Je relevai le visage vers lui. Je n'étais pas sourd, j'avais bien entendu ce qu'il avait dit. J'étais vraiment dans une seconde dimension. Ou je faisais un rêve éveillé – cette option-ci était stupide parce que je ne pouvais pas rêver, mais c'était toujours plus plausible que Blaine avouant être tombé amoureux de moi. Attendez. Moi ? Nolan ? Il n'avait pas rencontré deux garçons à l'aéroport, il n'avait pas grandi avec deux garçons – mais juste moi. Je ne pouvais pas mal-interpréter ses dires. J'avais tellement perdu la notion de ma vie que je me mettais à fabuler ? Probable. Mais si c'était un rêve, une autre dimension – ou quoi que ce soit que cela puisse être, j'en profiterais jusqu'à ce qu'un dur rappel à la réalité vienne me heurter de plein fouet. Quitte à tomber de haut, quitte à en souffrir après, ça m'était complètement égal. Il avançait vers moi et mes membres refusaient de se mouvoir. Que devais-je faire, après tout ? Me jeter sur lui ? Non, bien sûr que non. L'arrêter ? Non, non plus. Je ne bougeai plus, mes yeux ancrés sur lui. Qu'allait-il faire ? Je n'en savais rien. Jusqu'à aujourd'hui, je me pensais capable de prédire chacune des actions de Blaine – à présent, c'était différent. Depuis quand était-il énervé contre moi ? Depuis quand me fuyait-il ? … Depuis quand était-il amoureux ? Plus j'y réfléchissais aussi rapidement que je pouvais, plus je finissais par me dire qu'il était en train d'agir avec moi de la même manière que j'agissais avec lui dès que j'avais commencé à prendre conscience de ce que je ressentais réellement. Alors, quoi. C'était vraiment cela ? J'aurais aimé vivre dans cette seconde dimension jusqu'à la fin de ma vie. C'était complètement paradoxal. Il s'avouait auprès de moi. Et moi, j'étais même pas capable de le faire. Sa main se posa sur moi et je déglutis faiblement. C'était quoi, la suite ? Moi qui étais plus actif que passif, je me laissais complètement faire et c'était une première. Mais j'étais curieux. Réellement curieux de savoir ce qu'il me réservait. Son aveux était déjà un choc, s'il me réservait quelque chose d'encore plus électrifiant, je n'avais aucune envie de l'arrêter dans sa lancée. Son regard soutint le mien avec une détermination que je ne lui reconnaissais pas, et il commença à me pousser vers l'arrière. Je suivais, sans broncher, alors que sa phrase suivante me meurtrissait. ah. Il était amoureux de quelqu'un que je n'étais plus. Logique, après tout. Je n'étais actuellement pas le parfait prince charmant. J'avais donc tué ses sentiments ? Ces même foutus sentiments que j'étais même pas capable d'étouffer chez moi ? Quel délire. J'étais détestable, certes. Il me détestait, et je me haïssais. Suite à sa phrase, j'avais oublié que je reculai encore jusqu'à ce que mes jambes tapent contre le sommier de son lit. Je m'arrêtai de bouger et sentit un poids tomber sur mon ventre. C'était quoi ? J'avais envie de fuir. Encore. De partir loin, de ne pas le secouer en lui disant bordel, je t'aime, comment tu fais pour ne pas le voir, ne me rejette pas, ne me déteste pas. mes membres, une fois encore, avaient décidé de faire grève. Une pression sur mon torse et me voilà assis sur son lit, appuyé sur les coudes, le regard toujours plongé dans le sien. À quoi jouait-il … je fronçai les sourcils d'incompréhension, une horrible grimace de douleur déformant les traits de mon visage. Pas de douleur à cause de ma retombée sur le lit, non. Je ne savais pas ce qu'il se passait dans ma tête. Peut-être me refusais-je toujours à croire ce que l'implacable réalité m'offrait. Elle me donnait ce que je voulais depuis tant de temps, et je n'étais foutredieu pas capable d'y croire alors qu'il n'y avait aucuns doutes possibles. Seconde dimension ? Rêve ? Au fond, je savais bien que ce n'était pas possible. Mais était-ce plus plausible que Blaine qui se penchait vers moi, là, maintenant ? Je clignai des yeux. Je me posai beaucoup trop de questions. Sa main se posa sur mon épaule et je tournai la tête vers elle. Rien que ce contact prouvait à quel point c'était réel. Je détournai les yeux, et entendis ses paroles. J'avais du mal à saisir où il voulait en venir. Lui, idiot ? … un soupir s'échappa de ses lèvres, ses yeux chocolatés percèrent mes pupilles et avant que mon cerveau assimile le fait qu'il s'approchait dangereusement de moi, ses lèvres chaudes pressées contre les miennes me ramenèrent à la réalité. hein? mes yeux s'étaient écarquillés d'eux-même et à peine les fermai-je afin de savourer ce doux mais chaleureux contact qu'il se décolla de moi. Erf. Action, réaction, Nolan, putain. Je me frappai mentalement quand il baissa la tête vers le sol. Et c'est dans un murmure imperceptible qu'il le répéta encore, une fois. je.. t’aime.. … oh oui, Blaine, tu es un sacré idiot. Un sacré idiot d'aimer un type comme moi qui te fait vivre un enfer depuis ces derniers temps. Un abruti qui ne pensait qu'à lui, un égoïste. Comment, dieu, étais-tu capable d'endurer ça ? Comment est-ce que cela avait seulement pu continuer à entretenir ses sentiments pour moi ? Incompréhensible. Incompréhensible et terriblement stupide. Mais aussi affreusement tentant, et délicieusement plaisant. Un léger rire s'échappa de ma gorge et je posai une main sur sa joue, le faisant tourner son visage vers moi. Un sourire ornait ma bouche, et c'était la première fois depuis longtemps qu'un tel sourire n'avait pas illuminé mon visage. Je caressai sa lèvre inférieure de mon pouce et rit faiblement une deuxième fois. Une paire de crétins, voilà ce que nous étions. Moi pour être handicapé mental quand il s'agissait de lui, lui pour être tombé amoureux de moi. « un sacré idiot … » soufflai-je avant de venir frôler son nez avec le mien, tendrement. Mon sourire toujours en place, les yeux clos. « ... mais j'aime les idiots. » continuai-je en ouvrant les yeux, mon regard glissant inéluctablement sur sa bouche. Vile tentatrice. Je posai ma main de libre sur son avant-bras qui tenait mon épaule tandis que l'autre quittait sa joue afin de se positionner sur sa hanche. J'effectuai deux pressions simultanées : l'une consistant à tirer son bras vers l'arrière, et l'autre à appuyer sur sa hanche dans le but qu'il s'approche. Je me relevai afin de m'asseoir correctement et l'installai sur mes genoux. Mon visage de nouveau à quelques centimètres du sien et, si j'avais eu un cœur, alors je l'aurais probablement senti imploser dans ma poitrine. Je n'avais rien, qu'un cœur mort, mais j'avais cette étrange sensation. Comme si mon contact avec lui permettait à mon organe de subitement se remettre à battre contre ma cage thoracique – comme s'il me maintenait vivant dans mon errance sur terre en tant que mort. Je passai mes deux bras autour de sa taille et nouai mes doigts entre eux dans son dos. C'était réconfortant – et je me maudissais, je maudissais ma famille de m'avoir fait naître en tant que vampire. Si la chaleur de son corps était bénéfique pour moi, la froideur du mien devait lui être insupportable. C'était une horrible pensée. Ne pas être capable de le tenir dans mes bras alors qu'il était si proche – dans son seul et unique intérêt. Pourtant, je n'arrivais pas à m'empêcher de me coller à lui. Il l'avait dit. Nous étions opposés. Que faisaient des opposés ? Ils s'attiraient irrémédiablement, plus ou moins de la même manière que deux aimants ne se lâchaient que rarement, sous la pression acerbe d'une aide extérieure. Je vins embrasser l’extrémité de sa mâchoire, redescendant lentement sur sa joue, passant par le coin de ses lèvres avant de m'arrêter quelques secondes à la hauteur de ses lèvres. J'hésitai quelques secondes en me mordant la joue intérieure puis vins délicatement embrasser sa lèvre inférieure. Quelques secondes, pas plus, et je rompis déjà contact, relevant mes yeux vers lui. « tu sais, un jour, un petit garçon est venu me parler à l'aéroport. » oh, je sais, je n'étais pas original, mais il fallait rester cohérent avec ses dires, non ? « il a grandi à mes côtés, rapidement, si bien que je n'ai pas vu le temps passer. Il avait déjà son petit charme quand il était gosse mais, tu vois, quand il a grandi, il est devenu vraiment beau. » je dénouai une main et vins la monter de nouveau sur son visage, passant une mèche de ses cheveux derrière son oreille. « il était mon exact opposé. Il était parfait. » je baissai les yeux, un sourire moqueur contre moi-même se formant sur mon visage. « ... et puis il est venu à fréquenter d'autres garçons, et petit à petit, ça a commencé à me rendre dingue. Mais vraiment dingue. Pas par jalousie, mais ça me rendait presque malade de voir comment se terminait systématiquement ses relations. Quand je rentrais le soir, il avait ce visage empreigné d'une tristesse que je détestais. Et un jour, mes pensées sont allées bien plus vite que moi. Tu sais ce que je me suis dis ? » je fermai les yeux, riant encore de moi-même. Je savais tellement pas ce que je déblatérais, mais ça sortait tout seul, comme quelque chose que j'avais gardé trop longtemps en moi. « ... j'me suis dis que j'devrais être le seul à voir ses sourires, parce que j'voulais être le seul à l'rendre un peu heureux. parce que j'étais dingue, complètement dingue de lui. » je m'arrêtai. « tu crois, toi, que je pouvais prendre le risque de dire à ce garçon que je ne le voyais plus tellement comme un ami ? Parce que je préférais rester silencieusement à côté, plutôt que tout risquer et finir tout seul. Enfin, seul, c'était pas grave. Mais sans lui, c'était grave. » j'ouvris de nouveau les yeux et continuai à fixer son épaule. « puis les choses se sont dégradées, progressivement, tout commençait à vaciller, à tanguer. J'savais plus quoi faire. » je relevai les yeux vers lui, déposai un baiser au coin de ses lèvres avant de chuchoter en le regardant fixement dans les yeux. « est-ce que tu crois, toi, aux happy ending ? » voilà ce qu'on pouvait appeler du déballage de sentiments … et si maintenant il avait joué avec moi ? S'il s'était fourvoyé ? Si c'était une blague ? … je me mordis l'intérieur de la joue, me forçant à ne pas fuir à toutes jambes ce que j'esquivais déjà depuis trop longtemps. Il fallait bien qu'un jour, au final, je lui fasse face.


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Bae Blaine
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MessageSujet: Re: you give me something. ❞ feat. nolan ♥.   you give me something. ❞ feat. nolan ♥. Rapons10Ven 2 Nov - 16:52


Faiblir maintenant ? Céder facilement ? Non, pas de suite. Lui dire je t’aime et l’embrasser ne voulait pas dire que tout était finit, qu’il était pardonné d’avoir causé tant de souffrance. Qu’il n’y avait plus de colère au fond de blaine. Oh, c’était loin d’être simple l’amour et le jeune garçon en prenait conscience petit à petit. Il se rendait compte à quel point la vie n’était plus aussi rose qu’il l’imaginait. La dure réalité, elle était face à lui. La réalité était que soit il baissé sa garde face à Nolan, soit il resté dans sa carapace et.. il le perdrai. Dans les deux cas il allait souffrir plus ou moins selon la solution choisi mais il y a énormément de chance pour qu’il grandisse un peu, dans les deux situations. Seigneur, que la vie est mal faite, tant de dilemmes, tant de difficultés pour tant de souffrance pensait-il. Ma souffrance était-elle une punition pour être si naïf ? ou alors est-ce un avertissement ? ah, décidément, les choses se compliquaient beaucoup trop dans la tête du cadet. Aurait-il dû réagir plus tôt ? telle est la question. Quoi qu’il en soit, il ne pouvait plus reculé maintenant. Des aveux et un baiser donner à Nolan avait déclenché le début de toute une autre histoire. Pire que la précédente ? C’était à avoir. Le sol sous ces yeux, il perdu cette vue inconsciemment, perturbé par son ami qui n’avait fait que tourné le visage sur plus jeune vers le sien. Ah ?.. Pourquoi commençait-il a paniqué. Nolan souriait mais bizarrement, ça ne rassurait pas le jeune garçon, au contraire, ça l’inquiéter. Serait-ce une moquerie qui aller sortir de la bouche du plus grand ou alors allait-il rejeté son cadet de façon subtile ? Malheureusement ou bien heureusement, c’était tout autre puisque son pouce vint se glisser sur la lèvre de blaine. Un frisson parcouru le corps du plus jeune. Un léger contact et pourtant tant de sensations. Qu’est-ce que ça serait si ça aurait été plus qu’un simple contact de ce genre ? En tout cas, c’était clair, Nolan venait de le dire. Blaine n’était qu’un pauvre idiot mais nolan aimait les idiots ? .. Décidément, ça compliquait encore plus les choses. Pourquoi faire subir ça à un garçon aussi innocent et légèrement bête comme blaine ? Pourquoi ne pas simplement utiliser la facilité ? Aller droit au but, personnes ne savait faire ça ? Décidément blaine, tu choisis mal tes conquêtes pensait le plus jeunes. Un regard, ah, ça c’était un regard qui était plus ou moins inconnu de blaine. Nolan le fixait avec un regard qui perturbé facilement le plus jeune, au point que ce dernier ravala sa salive et le fixa d’un air de petit enfant battu. Une légère pression se fit ressentir sur son bras. A ce moment-là, le jeune naïf ferma les yeux et se sentit tiré. Il avait eu peur mais au final, ce n’était bien de rien méchant. Lorsqu’il les ré ouvrit, il était tout bêtement sur Nolan. Le vampire glissait ces mains autour de la taille du plus jeune sans que ce dernier ose lever le moindre petit doigt. La fraicheur de ces mains ainsi que son corp c’était faite ressentir mais ça ne gêner en rien blaine.

Bloquer, blaine était bloquer. S’il voulait fuir, c’était raté et puis même, au fond, il n’en avait pas vraiment envie. Le simple fait que Nolan pose ces lèvres contre sa mâchoire lui donner envie de rester contre lui. Un acte si simple et pourtant si efficace pour garder le jeune garçon contre lui, seulement savait-il à quel point il pouvait jouer de ces faiblesses pour le garder rien que à lui ? Pas si sûr, quoi qu’il en soit, le jeune garçon laissa son aîné faire, opposant aucunes résistance face à lui, il se contentait simplement de glisser ces bras derrière la nuque. Petit à petit, l’oiseau fait son nid, petit à petit, le vampire le fera faiblir.. encore une fois. Un supplice pour blaine de sentir les lèvres de nolan contre sa joue. Il était peut être un petit garçon innocent mais au fond, il le voulait son vampire et au final, il l’aura eu. Les lèvres de son aîné c’étaient posé contre les siennes, à ce moment, blaine se senti soulager. Au fond, la suite de ces propres évènements n’avait pas été si mauvais, du moins, c’est ce qu’il pensait. Bien que le baiser fut court, blaine n’eut le temps de s’exprimer, nolan l’avait devancé. Il n’avait fait que reprendre les dires de blaine quelques temps avant ce qui l’amusait mais il ne le montrait pas vraiment. Pourquoi parler de relation entre blaine et ces ex ? pourquoi avoir choisi cet exemple ? Ce n’était pas vraiment la meilleure des solutions d’utiliser ça pour vider son cœur. Quoi qu’il en soit, les deux garçons étaient dans le même bateau et ça, c’était plus ou moins une bonne chose, cependant, la phrase finale de nolan perturba le plus jeune. Croyait-il au happy ending ? si on lui aurait demander ça la veille, il aurait dit oui sans hésité mais ce soir, c’était différent. Le regard de nolan dans le sien était un léger supplice et de ce fait, le plus jeune ferma les yeux en soupirant doucement, laissant clairement un court silence s’installer dans la pièce. Presque une minute après, il ouvrit les yeux et sourit légèrement à nolan, comme si c’était une sorte de signe pour le rassurer. « un happy ending.. c’est pour les gens normaux. Pour nous ça sera plus compliquer d’avoir droit à ça.. » un arrêt. Plus un mot sorti de sa bouche durant un court instant. Il se pencha en avant et attrapa les lèvres du vampire entre les siennes. Court baiser mais s’en n’était qu’un parmi tant d’autre. « on a mal commencé en étant gamins mais on s’en ai bien sorti alors pourquoi ça ne continuerai pas. » il jeta un rapide coup d’œil aux trais de visage de nolan, visage qu’il connaissait à la perfection puis sur un coup de tête, le jeune garçon donna un coup de pression avec son torse contre celui de nolan et le força à s’allonger sur le matelas. Ces bras quittèrent sa nuque pour poser ces mains de chaque côter de la tête du jeune vampire qui c’était retrouver sous le plus jeune. Blaine le fixa d’un air sérieux, fronçant légèrement les sourcils. « un jour, quand on été gosse, tu m’as sauvé de la noyade et j’ai pas le souvenir de t’avoir remercier ce soir là, puis, y a pas que ça en fait. T’étais plus souvent avec moi que mes propres parents et je sais pas.. j’ai rien vu venir parce que j’étais trop obsédé par cette enveloppe fraternelle que tu dégageais.. » le jeune américain ne lâchait pas nolan des yeux, il commençait à sentir les larmes montées et pour cette raison, il souffla légèrement avant de reprendre la conversation. « je sais pas pourquoi tu m’as demander si je croyais au happy end, honnêtement, je sais pas je dois paniqué ou si je dois m’en réjouir de m’avoir poser cette question.. et puis moi-même, je sais même pas pourquoi je me suis foutu sur toi ! » et voila. Là, c’est le moment où blaine se prend une grosse claque dans la gueule et perd totalement le contrôle. Pauvre enfant, il était loin d’être au paradis.


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MessageSujet: Re: you give me something. ❞ feat. nolan ♥.   you give me something. ❞ feat. nolan ♥. Rapons10Mar 6 Nov - 20:24


C'était sur et certain, je ne rêvais pas. C'était tellement insensé. Comment en était-il arrivé au même point que moi ? Et surtout, comment avais-je pu passer à côté de cela ? Oh, bien sûr. Mon égoïsme et ma tendance à croire que j'étais le plus malheureux des deux, probablement. Néanmoins, actuellement, c'était plutôt l'inverse. Si lui n'avait pas l'air tout à fait tranquille, moi j'étais tout simplement … heureux ? Oui, c'était ça. J'étais content. Même si l'issue n'était pas tout à fait à portée de vue, je ne m’inquiétais pas du futur. Non, pas tant qu'il m'aimait autant qu'il le prétendait. Je n'avais pas à me soucier de ce qu'il pouvait se passer s'il était sincère – car l'évidence même était qu'après le mauvais temps, il ne pouvait y avoir plus que le soleil, n'est-ce pas ? Loin de moi l'idée d'y voir un quelconque conte un peu niais où tout est bien qui finit bien. Mais rien ne pouvait être pire que tout ce qui s'était passé. Non ? Si, j'étais certain que si. … Depuis quand étais-je si optimise, hunf. Peut-être depuis que tout avait changé. Tout avait basculé d'un seul coup, et même si ma propre connerie était toujours aussi stupéfiante puisqu'il avait dû se jeter à l'eau avant moi et que j'étais le plus lâche des deux, eh bien … il était impossible pour moi de passer outre cette sensation de chaleur qui se diffusait dans tout mon corps. Celle que j'avais perdu il y avait de cela quelques temps. Celle qui avait toujours été là pendant mon enfance, quand je tournais la tête sur le coté et avait toujours la vue de son si beau visage. Ces derniers temps, c'était plutôt une sensation glaciale qui coulait dans mes veines mortes. Mais là, non. Son sourire avait tout ranimé en moi. Et ça faisait du bien de se sentir autre chose que corps vide et déjà mort, déambulant sur terre sans but. Sans raisons de vivre. Parce qu'au fond, ma raison de vivre, elle se trouvait sous mes yeux. Je gardai cependant un visage dès qu'il me répondit. Les gens normaux … c'était vrai, ni lui ni moi n'étions dans la normale. Lui peut-être un peu plus que moi – mais pas de beaucoup. Il restait tout de même dans une certaine minorité d'humains. Commander à un élément, avoir un pouvoir … même pour moi cela avait sonné insensé. Si il n'avait pas été Blaine, je n'y aurais probablement pas cru directement. Mais après tout, puisque j'existais, pourquoi pas un orage violent qui donne des pouvoirs, hein ? Il n'était probablement pas le seul à avoir eu ce 'don' ou disons, cette malédiction. Toujours était-il qu'il avait raison. Ni lui ni moi n'avions un soupçon de normalité dans nos corps. Mais était-ce pour cette raison qu'il fallait en bloc le fait d'avoir un happy ending, nous aussi ? Après tout, l'homme était crapaud avant de devenir prince. La princesse avait une belle-mère se transformant en dragons. Son cheval parle. Hunf. Ils étaient encore plus givrés que nous. Alors, pourquoi pas nous ? Je déglutis alors qu'il s'arrêta. Sa phrase était finie ? Il allait me laisser sur cette mauvaise nouvelle ? Il vint de nouveau cueillir mes lèvres et ça eut pour effet de me rassurer. Bon, peut-être qu'il n'y croyait pas mais, au moins, il avait envie d'essayer, lui aussi ? Il me le confirma en parlant, par ailleurs. Avec sa douce voix … sa voix. Avais-je déjà dis à quel point je l'aimais ? Pas sûr. Tout chez lui était synonyme de perfection. Je l'idéalisais un peu trop, peut-être. Quant au fait qu'il était légèrement naïf sur les bords … hé bien, ce n'était tellement pas un défaut pour moi que je m'en effrayais tout seul. Quand je voyais une fille un peu stupide sur les bords, naïve et qui se faisait avoir par n'importe qui, je n'pouvais pas m'empêcher de soupirer pauvre conne et tracer ma route. La même chose avec un homme. Quoi que, je trouvais ça peut-être encore plus stupide pour un homme d'être naïf à ce point – le traditionnel côté machiste asiatique, je supposais. Mais pour lui, c'était complètement différent. Ça me donnait juste envie de rester à côté de lui. De le protéger. Oh, pour autant, j'étais certain qu'il pouvait s'en sortir sans moi contrairement à ce qu'il prétendait. Néanmoins, puisque j'étais là, et puisque je pouvais lui servir, alors pourquoi ne pas le faire à sa place, hein ? Pourquoi le laisser se salir les mains quand je pouvais le faire à sa place ? Un peu chevaleresque, comme idée de penser. Pour autant, j'étais assez loin du parfait petit prince charmant aux petits soins. Je dévoilais aisément mes sentiments – mais, à l'inverse, je le faisais parce que mes gestes et mes actes ne montraient que très peu mes réelles pensées. Tout comme là. Je restai de glace alors qu'il me poussait sur le dos. Me retrouver en dessous de lui. Hunf. Moi ? Je ne pus m'empêcher d'arquer un sourcil. Franchement ? C'était assez étrange de se retrouver sous Blaine. Je plissai les yeux avant de rapidement secouer la tête alors que de sombres pensées vicieuses commençaient à se glisser dans mon esprit. Ta gueule, Nolan. C'est pas le moment. C'est vraiment pas le moment. Il reprit son monologue en fronçant les sourcils, continuant sur notre passé. Oh, aller, c'est pas grave. Le passé est le passé, concentrons-nous sur le futur, hum ? Il dit ne pas avoir le souvenir de m'avoir remercié ce soir-là et la première chose qui me vint en tête fut : pourquoi dieu me remercier d'avoir agi comme n'importe quelle personne l'aurait fait? c'était vrai. Si je ne l'avais pas fait, quelqu'un d'autre l'aurait fait à ma place. C'était quelque chose de normal. Même si la gentillesse était une qualité qui se perdait en ce monde, laisser un petit se noyer n'était pas encore du ressort de tout le monde. Bien sûr, il aurait pu tomber sur un taré qui lui aurait fait du chantage en le traitant comme esclave en remerciement mais – il l'aurait sauvé quand même. Et puis … après cette pensée-ci en vint une autre. Beaucoup moins gentille. Beaucoup moins pure. Énormément perverse, en fait. Ah, y'a mille façon de me remercier, si t'en avais envie. Je fermai les yeux en me giflant mentalement alors que je me mordais l'intérieur de la joue. Comme si c'était le moment de penser à ça. Lorsque je les ouvris de nouveau, il avait les yeux rouges. Pas le genre pupilles rouges comme les miens, mais plutôt embué par les larmes. Pourquoi pleurer … ? J'étais réellement inquiet, prêt à chercher quelque chose pour lui remonter le moral, quand il acheva son monologue avec cette phrase qui me fit éclater de rire. Il ne savait pas pourquoi … il s'était foutu sur moi ? Quel comique, ce petit. Je ne me moquai pas, même si on pourrait croire l'inverse. Je m'arrêtai de rire subitement, me rendant compte que c'était déplacé, mais gardai toujours ce sourire affiché et je secouai négativement la tête, tout doucement. Sacré Blaine. Au final, il me surprendra toujours, n'est-ce pas ? Aucuns doutes là-dessus.

Je passai une de mes mains glaciales dans le creux dans son dos tandis que l'autre se faufilait sur son omoplate. J'appuyai dessus, le collant contre mon corps avant de rouler sur le côté. Voilà. J'étais passé au dessus. Tout de suite, je me sentais mieux, et puis si cela pouvait amoindrir ses états d'âmes, ce n'était pas comme si j'allais exactement m'en plaindre. Je me surélevai légèrement, adoptant la position qu'il avait pris plutôt et déposai un baiser sur son front. « Je t'ai demandé ça parce que je voulais savoir si, un jour, tu aurais la force de pardonner mes actes lâches et égoïstes. » expliquai-je tout en rebaissant le regard vers ses pupilles chocolatées, baisant son nez. Je ne souriais pas, parce que je n'étais pas à l'aise sur ce sujet-là. Après tout, même s'il avait l'air d'en avoir envie, il y avait toujours un décalage avec la possibilité de le faire ou non. Je pouvais attendre, moi. J'étais immortel, ce ne serait que partie remise s'il me faisait traîner pendant des mois et des mois. Mais justement parce que j'étais immortel et que lui non, je n'avais pas envie de gaspiller encore davantage de temps à jouer au con. Enfin, savoir qu'il m'aimait était, en soi, bien plus que ce que j'espérais. Alors je ne ferais pas le difficile. « T'as largement le droit de m'en vouloir pour encore longtemps. » continuai-je tout en descendant mes lèvres au coin des siennes, les pressant contre sa peau. Quand je songeais au fait qu'il avait dû en souffrir plus ou moins autant que moi, j'avais envie de me brûler vif – dans le cas où cela aurait pu me faire mourir, hunf. « Je ne peux te demander de me me pardonner immédiatement, même si j'aimerais. » je remontai le long de sa joue en l'effleurant, soupirant contre sa peau avant de me mettre à embrasser sa joue. Je devais arrêter de jouer l’égoïste, n'est-ce pas ? Néanmoins, la poignante envie de tout effacer et remettre à zéro hantait mon esprit. Je voulais qu'il passe l'éponge rapidement, mais je ne pouvais pas l'exiger, après tout. « J'attendrais le temps qu'il faudra, parce que … » je déposai un ultime baiser en dessous de l'oreille puis vint lui chuchoter comme si c'était un secret. « Je t'aime, Blaine. » Après tout, je ne l'avais pas dis clairement, et c'était toujours plus appréciable de l'entendre de vive-voix.


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MessageSujet: Re: you give me something. ❞ feat. nolan ♥.   you give me something. ❞ feat. nolan ♥. Rapons10Sam 10 Nov - 2:52


Pourquoi diable vouloir le laisser trainé dans un sentiment de regret si longtemps ? Pourquoi être si rancunier alors que fond, le jeune garçon n’était pas méchant ? Blaine ne savait pas pourquoi il avait ce sentiment d’amertume en ce moment, tout ce dont il était sur c’était que Nolan avait un fort pouvoir de persuasion face au cadet. Il ne faisait rien et pourtant, Blaine cédait facilement sous ces yeux sombres. Pourquoi ne pas tout pardonné, oublier et repars à zéro ? Certainement parce qu’au fond, même si Blaine avait faiblit, il avait toujours une légère part de rancœur qu’il ne pouvait quitter mais d’une certaine façon, tout ça pourrait combler le manque de remerciement envers Nolan. Le vampire avait pris la fuite un certain temps mais au final, ça a été bénéfique autant pour l’un que pour l’autre vu la situation actuelle. Blaine blesser par son absence et Nolan souffrant de son abstinence envers le cadet.. d’une certaine façon. Au final, les deux étaient maintenant réunis, tout ne pouvait qu’aller mieux désormais. Blaine, ce jeune garçon inconscient était faible, dans tous les sens du terme. Il n’avait conscience de rien et s’il prenait enfin conscience de quelque chose, c’était trop tard la plupart du temps. C’est ce qui est arrivé ce soir-là. Le cadet c’était retrouver à califourchon sur son aîné sans trop s’en rendre compte. Bien que Blaine c’était quelque peu énerver, le vampire lui avait été amusé par la réaction du petit foudroyé. Blaine était gêné de la situation mais au fond il s’en fichait royalement. Nolan rigolait.. Ce rire qu’il aimait tant et qu’il n’avait pu entendre depuis plusieurs jours. Ce rire sonna comme un soulagement pour Blaine malheureusement pour lui, ce fut de courte durée. Le vampire s’arrêta aussitôt. Ah ~ pourquoi avoir arrêté ? C’était tellement parfait de voir ces lèvres sur ce visage et d’entendre ce rire.. Pourquoi était-il si parfait ? Pourquoi la vie avait-elle décidé d’ôter la vie à être aussi parfait que Nolan ? Parfois, certaines questions n’ont pas de réponses et celle-ci, au plus grand malheur de Blaine, elle n’en avait pas. Le regard du cadet restait bien profondément plongé dans celui de son ainé. Obnubilé par sa perfection, le jeune garçon n’osait plus prononcer un seul mot. Sa seule réaction fût d’écarquiller les yeux tels un chaton surpris lorsque Nolan fit basculer le plus jeune et se retrouva au-dessus de ce dernier. Blaine observa minutieusement chaque trait de visage du vampire. Il était passé de son air joyeux à celui de froid, voir sans réelle expression, chose qui inquiété le plus jeune. Il faut dire, il en fallait peu à Blaine pour se mettre à paniquer ou même s’inquiéter. Pourquoi Nolan voulait-il être pardonné rapidement ? C’est pas comme si Blaine allait mourir dans quelques mois ? Bon, d’accord, ce qu’il avait été pas cool pour son cadet mais en regardant bien, tout a été bénéfique autant pour l’un que pour l’autre donc pourquoi Blaine ne le pardonnerait-il pas maintenant ? Il allait lui pardonné, c’était certain, mais il préférai tout de même se taire, profitant des lèvres froide du jeune vampire.

Un je t’aime puis un sourire. Pas besoin d’être sadique plus longtemps envers son aîné. Ça ne servait plus à rien maintenant. Autant finir ça rapidement, de ce fait, le jeune Blaine observa longuement Nolan sans rien dire. Un silence qui pourrait être une torture pour le jeune homme sans cœur battant. Cependant, le jeune foudroyé se décida enfin à briser le silence après quelques minutes. « Tu n’auras pas besoin d’attendre longtemps tu sais pour être pardonner ? » Le jeune garçon chercha lentement à croisé le regard de son aîné puis une fois fait, il vint déposer un baiser sur la joue glacé de ce dernier. « Sans que tu ne le sache, ça fait déjà un petit moment que tu es pardonnés déjà.. » Un soupire s’échappa du plus jeune. Il ferma aussitôt les yeux comme pour apaisé son stress et son inquiétude puis au final, il reprit à nouveau la parole. « Je suis un être faible.. un être tellement faible. J’en viens presque à me dire que parfois, je voudrais être comme toi.. Froid, sans cœur.. sans vie mais quand même en vie. Au fond.. Être vampire serait la solution au problème en fait.. Non ? » Il ré ouvrit puis tendit les bras vers Nolan de façon à les passés sur la nuque et ainsi lui donner un léger coup de pression, le força clairement à le faire s’allonger sur lui, gardant son visage près du sien. Une fois que Blaine senti le corps de son aîné complètement coller au sien, un sourire malicieux s’afficha sur son visage d’enfant. « on m’a dit que la vérité sortait de la bouche des enfants, de ce fait, je dis.. » Il s’arrêta un instant pour déposer un baiser sur le coin des lèvres du plus vieux. « Je dis que tu es dangereusement appétissant et qu’en fait, tu as de la chance que je ne sois pas un petit vampire.. bien que ça aurait pu être plutôt bien de te dévoré mais tant pis. » Le jeune garçon lâcha un petit rire amusé puis fit glisser ces mains sur le dos de son aîné. Il abandonna son rire pour un visage sérieux puis vint déposer un baiser sur les lèvres du vampire. Au final, il se mit à taquiné ce dernier en glissant sa langue pour ainsi jouer avec la sienne. Après une petite minute, le jeune foudroyé mit fin au baiser, sans pour autant s’éloigner des lèvres de son aîné. Il profita de cet échange pour lui susurré quelques petits mots en fleurant ces lèvres froides. « Je. Je crois que par ma faute, tu finiras aussi malade que moi maintenant.. ». Un air d’ironie ? Peut-être bien que oui, peut-être bien que non. Qui sait ce qui se passe dans la tête du petit garçon si innocent..


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MessageSujet: Re: you give me something. ❞ feat. nolan ♥.   you give me something. ❞ feat. nolan ♥. Rapons10Dim 11 Nov - 17:49


Blaine n'était nullement sadique – mais c'était tout comme, pour ce soir. Il n'y avait rien de plus horrible et désagréable que de se prendre un grand silence dans les dents après une déclaration. Bien sûr, je connaissais déjà sa réponse, mais il n'empêchait que c'était relativement perturbant et frustrant de n'avoir aucune réponse, aucune réaction. Rien. Devant l'absence de geste, j'avais replacé mon visage au dessus du sien, fronçant les sourcils d'incompréhension. Tu me fais quoi, là, hein ? Réagis. Bouge. Fais quelque chose. Me laisse pas comme ça. C'était insupportable. Les secondes passèrent et j'avais l'impression que j'allais mourir juste au dessus de lui. Je me raclai la gorge, prêt à parler de nouveau, quand il se décida enfin à ouvrir sa bouche. C'était incroyable la manière qu'il pouvait avoir de me faire adorer et haïr ses lèvres à la fois. Ou alors, j'étais un hyperactif qui voulait sans cesse les voir en mouvement … Ouais, la réponse était probablement cela. Je préférais qu'il me gonfle à coup d'insatiables paroles plutôt que me laisser dans un horrible silence froid. Sans m'en rendre compte, j'avais retenu ma respiration comme si elle était vitale à ma survie. Puis après sa phrase, je sentis mon souffle se détendre, mes muscles se décontracter, et mon expression de visage changer pour un air narquois. À défaut de pouvoir jouer avec mon cœur, il avait envie de jouer avec mes nerfs, ce soir. Un sourire en coin s'afficha et je gardai précieusement les informations qu'il m'avait dite. Pas besoin d'attendre longtemps. Dieu avait entendu mes prières, donc. Néanmoins, je me demandais vraiment comment il faisait pour passer l'éponge si vite et tout oublier … mais la réponse devint évidente quand je réalisai que j'aurais fait très exactement la même chose pour lui, si nos rôles avaient étés inversés. Il continua et je hochai la tête en masquant un rire. Déjà pardonné, hein ? Je le savais, je l'avais toujours su – j'étais irrésistible, voilà. Comment ne pas flancher devant un type comme moi, hein ? … Non ? Non, d'accord. J'étais juste extrêmement chanceux. Mes yeux croisèrent de nouveau les siens et j'aperçus son sourire. De quoi avions-nous l'air ? À rire et sourire comme deux imbéciles heureux, hein ? Je savais pas, mais puisque moi je l'étais, je m'en moquais. Cependant, mon sourire disparut bien rapidement dès qu'il continua d'égayer la pièce du son de sa voix. Mes sourcils se froncèrent. Pas de colère, pas d'incompréhension, mais de tristesse. Comment pouvait-il en venir à penser cela ? Comment diable pouvait-il penser qu'être vampire était une solution ? Je déglutis. Je n'aimais pas franchement faire la morale aux gens, de la même manière que je n'aimais hurler sur personne. Quand on me prenait la tête, je passais simplement outre. Et quelqu'un me l'avait déjà fait, ce coup. Celui du je voudrais bien être vampire, au fond. je l'avais mal pris, bien sûr. Certains ne semblaient pas assimiler le fait qu'être un vampire n'était rien autre qu'un tas d'emmerdes, hors mis pour la jeunesse éternelle, bien qu'elle devenait tout de même un poison sur le long terme. Être jeune toute sa vie, d'accord, c'était bien. Voir tous ces proches mourir, ça l'était moins. Et Blaine, il … il … je secouai la tête négativement. Bien sûr, ce serait simple s'il était vampire. J'aurais la certitude qu'il soit avec moi constamment, je n'aurais plus autant cette peur dégoûtante de finir par le perdre un jour. Le voir vieillir quand je resterais avec mon visage figé dans le temps … j'écarquillai les yeux en écoutant cette phrase. Pour lui, ce n'était rien. Pour moi, c'était tout un monde qui s'écroulait. Un énorme chamboulement. Blaine … que voulait-il dire ? Pensait-il qu'être fort rimait avec être vampire ? Faisait-il partie de ces gens qui oubliaient qu'il fallait voler des vies pour conserver la sienne ? Qu'il allait devenir un monstre, comme moi ? Était-ce une solution ? Il passa ses bras autour de ma nuque et me fit coller mon corps contre le sien. Son corps si chaud. D'ici, je pouvais entendre son cœur battre si je me concentrais. Je pouvais aussi faire attention au sang qui coulait dans ses veines, si j'en avais envie. Le seul avantage qu'il y aurait s'il devait devenir un vampire était que mon corps ne serait plus une gêne pour lui. Mais, j'aimais son corps. Pas dans un sens vicié, pour une fois. J'aimais la chaleur de son corps, j'aimais entendre son cœur battre régulièrement quand il dormait et que je restais à côté. Je n'avais pas envie qu'il perde vie, vitalité. Il n'était déjà à moitié plus humain. Je ne voulais pas lui retirer cette autre moitié. Je me serrais contre lui, le tins contre moi alors que je fermai les yeux. Était-ce une solution … ? devant mon absence de parole, il reprit. Lui, un enfant ? Oui, certes. Il embrassa le coin de mes lèvres et mes obscures pensées s'envolèrent d'un coup. Avais-je de la chance qu'il ne soit pas vampire ? Aucune idée. Je me demandais ce que cela pouvait faire. De sentir ses canines dans mon cou. Comment je me sentirais ? Était-ce douloureux ? Peu importait. J'avais surtout retenu que j'étais appétissant. Alors, si j'étais appétissant pour un si innocent garçon – j'avais tout gagné, non ? Il se mit à rire et tout redevint à la normale pour moi. Je relevai les yeux vers lui et il vint de nouveau poser ses lèvres contre les miennes. Un léger baiser appuyé, qui se transforma étrangement en un plutôt long baiser passionné. Qui aurait cru que Blaine était doué avec sa langue, hein ? Pas moi. Pourquoi avais-je toujours cette vision du petit garçon innocent qui se contentait d'attendre qu'on lui fasse des avances pour y répondre. Là, c'était l'inverse. Pour peu, on pourrait croire que c'était moi qui étais à la ramasse. Désagréable sensation – mais dans l'immédiat je m'en tapais. Hein ? Quoi ? Malade ? Huuuuh. Comme si je m'en souciais. Comme s'il ignorait qu'un vampire ne pouvait pas tomber malade. Je revins presser mes lèvres contre les siennes, glissant une main sur sa hanche, quelques uns de mes doigts glacés se faufilant sur sa peau si chaude. À mes yeux, elle semblait presque brûlante. Je mordillai sa lèvre inférieure. « M'est égal. », la suçotai doucement. « on a toujours tout partagé, de toutes façons. » et maintenant on va pouvoir vraiment tout partagé, dans tous les du termes, dans tous les sens tout court et – non, nolan, non. Tu la fermes et tu penses à autre chose. Je me mis à sourire contre ses lèvres. Soufflai doucement et fixai ses pupilles. « T'aurais dû prendre les médicaments quand je te les ai donné, tête de mule. Je vais tomber malade et je serais alité par ta faute, aish, tu vas bien vivre avec ça sur la conscience ? » Nolan ou comment en faire des tonnes – oui, je savais. C'était juste pour le taquiner un peu, rien de grave, si ? Ma main remonta sous son haut jusqu'à ce que mes doigts frôlent ses et je descendis sur son cou. « Sinon, je peux te mettre sous les couettes, et … » malheureusement ne pas te faire ce que j'ai bien envie de te montrer depuis des mois, nom de dieu. « ... te laisser tranquille avec un chocolat chaud, et des médocs. » mais moi, ça ne m'enchantait pas. Je sortis ma main de ses côtes et attrapai l'une de ses mains sur ma nuque. Tirant sur son bras pour parvenir jusqu'à son poignet et venir entrelacer mes doigts au sien, sur le matelas près de sa tête. « Ou sinon, on peut rester là, comme ça, jusqu'à ce que t'en aies marre de moi. »


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MessageSujet: Re: you give me something. ❞ feat. nolan ♥.   you give me something. ❞ feat. nolan ♥. Rapons10Mar 13 Nov - 22:51


Tant de sensation qui parcouraient le corps du jeune américain, en si peu de temps. Les pensées obscures qu’il avait pu avoir un peu plus tôt s’étaient évadées de sa tête. Il offrait toute son attention à son vampire. Oui, son vampire. Désormais, il n’appartenait qu’à lui et maudit soit la personne qui pourra dire le contraire. Blaine ne c’était pas offert en totalité à son cher et tendre, non pas qu’il en ai pas envie, bien au contraire, disons plutôt qu’il est encore incapable prononcé certains mots. Pudique ? Légèrement. Cependant, il se disait parfois qu’il n’aurait pas besoin de parler lui faire comprendre mais il avait peur que ça perturbe Nolan, pour le coup, il préféra se taire. Comment un vampire pouvait faire tant d’effet à un garçon aussi pur que Blaine ? Il avait une âme d’enfant malgré son âge. Il avait tous deux consciences de cette part enfantine dont le plus jeune porter en lui, d’une certaine manière. Vu l’allure que prenez les choses, vaudrait pour le plus jeune de s’activer un peu, autant pour son bien que celui de Nolan. La simple sensation de sentir le corps froid de Nolan coller contre le jeune homme lui donner un certain plaisir. Ce n’est pas comme si il avait l’habitude d’avoir le vampire coller à lui de cette manière. Ah Nolan, tant de perfection sur un même corps pour un doux enfant comme Blaine, c’était comme de la torture pour le plus jeune, lui empêcher si souvent d’avoir des pensées plus ou moins déplacés envers son aîné, on pouvait dire que cette fois si, il ne put facilement se défaire de son imagination fortement développer. Le garçon au visage d’ange revint à lorsqu’il senti une main froid glissé sur la sa hanche. Un frisson s’ajouta à cela lorsque les lèvres du petit rencontrèrent celles de son aîné. Ah ~ Vile tentation. Ça n’aider pas vraiment le plus jeune à oublier ces imaginations dans lesquelles il était plongé quelques secondes plus tôt. Bien au contraire, ça ne faisait qu’empirer. Puis c’est quoi cette façon de dire que Nolan et lui avait toujours tout partagé. C’était faux, absolument faux. Ou vrai, mais avec une part de faux tout de même. Conneries. Pures conneries. Arrête Blaine, ça en devient limite pervers se disait le plus jeune. Bon, il fallait mettre fin au supplice, Nolan avait raison. Blaine aurait dû simplement se foutre dans son lit et prendre quelques médicaments puis dormir sagement, ça lui aurait évité tout ce bordel dans sa tête là. Oui, c’est ça. Nolan va aller dans sa chambre et le cadet va gentiment faire dodo dans son grand lit tout seul. Interdiction au vampire de rester avec lui. « Vaut mieux que tu ailles dans ta chambre ou au salon... je vais finalement dormir et demain ça ira mieux, je crois ». Blaine déglutit suite à ces mots, le jeune foudroyé regrettait déjà ces paroles. Ces doigts restés entrelacés à ceux de Nolan et bizarrement, il n’était pas prêt de vouloir lâcher la main de son aîné. Si il l’aurait voulu le laisser partir, il aurait clairement lâché mais au lieu de ça, il garda sa main dans la sienne et plongea son regard dans celui de son aîné. Décidément, soit le petit était un indécis de la vie, soit il était malade au point d’être très faible et avoir aucune force pour rien. Ou alors, c’était simplement son inconscient qui le forçait à faire tout le contraire de ce qu’il voulait entreprendre. Cependant, malgré toute attente, le jeune garçon libéra sa main prise dans celle de son aîné et à l’aide de son autre main, il remonta le tee-shirt du plus vieux, allant jusqu’à lui ôté entière le tissue. Blaine dévorait clairement Nolan des yeux sans vraiment le cacher d’ailleurs. « Au final, je préfère que tu restes avec moi, ici.. » Sur ces mots il captura les lèvres de son ainé tout en glissant ces mains tout le long des côtes de ce dernier puis s’arrêta au bas du dos. Il arrêta subitement son baiser et fixa le vampire silencieusement. Silence qu’il coupa rapidement. « La perfection à un prix.. » Le jeune garçon ne put s’empêcher de rire après avoir laissé échapper cette phrase de sa bouche, aussi absurde qu’elle pouvait être cependant, son rire cessa soudainement. Il baissa légèrement les yeux et observa le torse de son bien aimer. Non pas qu’il le voyait pour la première fois mais, si il y avait bien une partie du corps de Nolan que Blaine connaissait par parfaitement bien, c’était bien celle-ci. Un sourire vicieux s’afficha sur son visage puis il vint retrouver ce regard noir qu’il aimait tant. Il abandonnant son sourire pour laisser place à un visage angélique, limite innocent. « Je n’ai pas besoin de médicament pour me soigner tu sais ? » Une sensation de grosse bouffée de chaleur commencé à monter en lui, fièvre ou pas ? Difficile à dire. Chose sure c’est que Nolan allait resté bloqué dans cette chambre durant un bon moment, mais ça, il ne le savait pas encore. « J’ai besoin que de toi. De toi et ton corps parfait tu comprends ? » Le jeune garçon le fixa un instant puis vint déposer un doux baiser aux coins de ces lèvres puis glissa finalement sur ces lèvres. Il prit le temps de déposer un chaste baisé sur ces lèvres froides avant de lui soufflé quelques mots. « Je t’interdis de partir.. »

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MessageSujet: Re: you give me something. ❞ feat. nolan ♥.   you give me something. ❞ feat. nolan ♥. Rapons10Dim 18 Nov - 20:43


Vaut mieux que tu ailles dans ta chambre ou au salon... je vais finalement dormir et demain ça ira mieux, je crois. Je rouvris les yeux subitement, arquant un sourcil sur mon arcade. Ah, zut. Moi qui pensais qu'il allait être du genre à me demander de rester contre lui, le voilà qui me demandait plus ou moins gentiment de dégager. Le problème, parce qu'il y en avait un, c'était que je n'en avais strictement aucune envie. Je voulais me glisser sous les couvertures avec lui, lui caresser la joue en attendant qu'il s'endorme, mêler mes jambes aux siennes. Pourquoi étais-je tellement pressé actuellement alors que j'étais celui qui avait gaspillé le temps ? Peu importait. Il était malade, évidemment qu'il voulait dormir. Je lui souris doucement et m'apprêtait à me relever quand je me rendis compte que ses doigts étaient toujours entrelacés aux miens. J'eus un léger sourire en coin. En réalité, voulait-il vraiment que je partes ? Pas certain. Et puis, ça me plaisait bien, l'idée qu'il ne veuille pas que je m'en aille. Peut-être était-il en pleine torture mentale afin de savoir si oui ou non il allait me laisser partir. Je ne bougeais pas. Ne l'incitant ni à me faire rester, ni à me repousser. Au fond, quelque chose me disait qu'il avait déjà fait son choix. J'humectai mes lèvres et haussai un sourcil. En fin de compte, il se résigna à lâcher ma main. Je fis la moue. Zut, l'espace d'une seconde, j'avais vraiment cru qu'il allait préférer rester avec moi plutôt que seul avec ses couettes dans sa chambre si froide. Bon, d'accord, elle était pas froide et, techniquement, je l'étais bien plus qu'elle – mais tout de même. En ce jour si particulier, mon petit Blaine se trouvait être tout à fait imprévisible. Certes, il avait lâché ma main, néanmoins ce n'était pas vraiment pour me faire déguerpir de sa chambre. Comment le savais-je ? Simple. L'homme était doté de deux mains, de ce fait, la seconde vint attraper le bas de mon tee-shirt afin de le relever sur mon ventre, mon torse et finalement mes épaules où je dus carrément couper tous contacts avec lui. Il me déshabillait, maintenant ? C'était tellement étrange. Y'a encore un peu moins d'une demi-heure, il tentait vainement de me frapper avec ses petites mains. À présent, elles lui servaient pour me retirer mes vêtements ? Pas que cela me dérange. Mais il était malade – il était mon ami il y avait de cela quelques minutes. Était-ce correct de lui sauter dessus maintenant ? Pas sûr. Pour autant, j'en mourrais d'envie. De plus, ce n'était pas forcément évident de résister à mes envies quand il m'incitait à y céder. Au final, je préfère que tu restes avec moi, ici... Tout ce que tu veux, vraiment tout ce que tu veux. Je posai mes mains de nouveau de chaque côté de sa tête, à plat sur le matelas, tandis qu'il m'entraînait dans un nouveau baiser que je suivis sans perdre de temps. Le temps, pourquoi devenais-je si obsédé par le temps ? Probablement parce qu'il m'avait parlé d'être vampire, il y avait quelques secondes, et que même si je ne me voyais pas vivre mon éternité sans son adorable visage, je n'avais strictement aucune envie de lui infliger ce que je subissais depuis tant d'années, déjà. Ses doigts sur ma peau chassèrent mes mauvaises pensées et me ramenèrent à la réalité. Tout ce qui importait pour le moment, c'était Blaine, Blaine, Blaine et son terrible et affreux séduisant corps qui m'incitait à la pire des perversions. Comme si mon esprit ne se chargeait déjà pas tout seul de me faire divaguer violemment sur lui. Ses mains se logèrent dans le bas de mon dos et, alors qu'il rompait contact, il prononça cette phrase que je ne compris pas immédiatement. La perfection … avait un prix ? Sans saisir réellement, j'échappai un bref rire pendant qu'il riait à son tour. Énigmatique petit ange. Il se stoppa, se mit à me détailler et, pour la première fois de ma vie, je vins à être gêné de son regard. Pas que je n'aimais pas qu'il me regarde, non. Mais je me demandais … avais-je l'air assez bien pour lui ? Étais-je trop musclé ? Pas assez ? Je me mordis la lèvre inférieure tandis qu'il semblait perdu dans ses pensées. J'étais mannequin, exhiber mon corps n'était pas quelque chose qui me dérangeait. J'avais assez de confiance en moi pour savoir que, sans être le type le plus magnifique de l'univers, j'étais quelques crans au dessus de monsieur tout le monde. Mais là … là, je me demandais finalement s'il appréciait la vue ou pas. Physiquement, quel genre de garçon aimait-il ? Je ne le savais pas vraiment, au fond. Je fronçai les sourcils, fermai les yeux avec force. Tu es ridicule, Nolan, complètement ridicule. Dès que je les ouvris de nouveau, il me regardait avec cet air … quel était cet air ? Je ne le lui reconnaissais pas. Il avait presque l'air malsain, pervers. Je me mis de nouveau à à souffler en riant brièvement. Eh bien, voilà que j'avais la réponse à mes questions. Depuis quand cet adorable petit garçon était-il capable d'avoir une telle expression de visage ? Pas pour très longtemps, visiblement. Cet air angélique vint de nouveau retrouver ses traits et je ne pus qu'hausser un sourcil à ce soudain retour 'à la normale'. Il commença à dire qu'il n'avait pas besoin de médicaments pour se soigner, et je voulus l'arrêter sec. Il était humain. Même foudroyé. De quoi avait-il besoin plus que de médicaments pour remettre à son état originel, son organisme, hein ? Je m'apprêtai à lui dire quelque chose comme et de quoi penses-tu avoir besoin, gros malin, mh? quand il m'anticipa. Et puis, sa réponse était autrement plus amusante que ce que je ne croyais. Besoin que de moi et de mon … corps parfait ? Oh bien, parfait, jeune garçon. Je resterais jusqu'à ce que tu n'en puisses plus de le voir – pas de soucis à se faire sur ce point-là. Alors qu'il déposait de courts baisers sur mes lèvres, je fermai les yeux. Même dans 'mes rêves' les plus fous, je n'aurais jamais pensé que lui et moi en arriverions à un tel point. Si je m'en plaignais ? Loin, très loin de là. Je t’interdis de partir..

« Je n'en ai pas eu l'intention. » dis-je en souriant. Je déplaçai ma main sur sa joue, venant tout d'abord placer quelques mèches de ses cheveux derrière son oreille, avant de caresser sa joue de mon pouce. Je collai mon front au sien, fermant les yeux tout en gardant un petit sourire affiché. Je n'en avais jamais vraiment eu l'intention, mais me retirer mes vêtements n'était pas la meilleure chose à faire non plus pour se débarrasser de moi, de toutes évidences. « Pas une seule seconde. » Je descendis vers son cou, déposant de longs baisers sur celui-ci, tandis que mon pouce préféra faire le contour de ses lèvres. Je mordillai sa peau sans appuyer – et surtout sans prendre réellement conscience de ce que je faisais. Les yeux mi-clos, perdus dans le vide, vague. Comme si mon esprit se faisait la malle et m'incitai lui aussi à m'enfoncer davantage sur ce terrain-là. Ma main opposé descendit le long de sa taille, frôlant sa hanche avant d'aller se poser sur sa cuisse que je caressai à travers le tissu, du bout des doigts. « Ce genre de choses, pour te guérir ? » demandai-je d'une voix suave que je ne me reconnaissais pas. J'écarquillai subitement de grands yeux, me redressai au dessus de lui et plissai le regard. hm. C'était sa faute, ça. Fourbe petit personnage. Pas si innocent que cela, au final, hein ? « Désolé. » non, je ne l'étais pas vraiment. « Si t'as juste besoin de moi, alors je vais t'aider. » soufflai-je en déposant un innocent petit baiser sur son front un peu trop chaud à mon goût. « Tu veux boire, manger un truc ? Si j'retourne chercher les cachets, tu vas me les cracher dessus, ou tu vas docilement les prendre, hein ? » Oui, oui, on essayait de changer de sujet comme on pouvait …


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Bae Blaine
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MessageSujet: Re: you give me something. ❞ feat. nolan ♥.   you give me something. ❞ feat. nolan ♥. Rapons10Dim 25 Nov - 1:02


Si l’on récapitulé tous depuis le début, on remarquerait facilement qu’ils étaient loin d’être des personnes normales. Nolan était un vampire qui détestait ces parents, si l’on peut dire ainsi, quand à Blaine, il était un garçon malchanceux dès la naissance, parent morts, frère disparu et récemment foudroyé avec un pouvoir qu’il commence à peine à contrôler. Non, rien que ça, ça faisait d’eux des personnes anormales, cependant, c’était bien une des choses qui leur été commune cette anormalité, ils avaient beau être tous deux différents l’un de l’autre, ils étaient tout de même deux garçon torturé par la vie. Au final, la fin était plutôt drôle, un vampire amoureux d’un petit garçon bizarre, décidément, la vie est pleine de surprise et on en avait la preuve ce soir. Ce cher Blaine, lui qui est de nature timide voir même pudique n’avait pas hésité à mettre son partenaire dans une situation plus ou moins délicate et tout ça pour quoi ? Pour lui faire comprendre qu’il voulait de lui. Mais malheureusement, la dure vérité lui arriva vite en pleine gueule au petit. Bien que les choses se poursuivaient bien jusqu’à ce que le suceur de sang prononce un petit Désolé à son cadet. Pas besoin de dire que le plus jeune fit une mine légèrement colérique et à savoir, un baiser sur son front ni changea rien. Boire, Manger ou prendre des cachets hein ? Le jeune Blaine soupira fortement puis poussa doucement son ainé sur le coter avant de se redresser. Il c’était mis à le fixé avec ce genre de regarde qui peut faire comprendre qu’on est légèrement vexé, il ne disait rien, il se contentait juste de le fixer. Soudainement, le jeune garçon remonta vers le haut du lit à quatre pattes, il tira la couette d’un coup et se faufila en dessous de celle-ci et s’enroula dedans en tournant clairement le dos à Nolan. « Je veux pas de cachets ! Je ne veux pas manger non plus ! » Un ton légèrement agressif ? Oui c’était possible venant du cadet, rarement, mais c’était possible. Sous cet effet de colère, le jeune garçon se débâti contre sa couette et la retira violemment. Trop de chaleur pour une si petite personne comme lui. Il soupira à nouveau puis se redressa soudainement. Il tourna rapidement la tête vers Nolan tout en gardant son air énervé collé au visage. « C’est quoi le soucis ? T’as peur de quelque chez moi ? » Il baissa la tête un instant puis il se mit au bord du lit et se leva tout en se dirigeant vers la porte sans se retourner. « Remarque, laisse tomber.. Je retourne au salon regarder un film. » Mauvais caractère le petit. Chose d’une, il ne fallait jamais entrer dans son jeu si on ne terminer pas ce qu’on commençait et de deux, il ne valait mieux ne pas le vexer. Bravo Nolan, tu as totalement perdu l’avantage. Blaine traversa le couloir et regagna le salon en soupirant. Il s’approcha du meuble où était la télévision et ouvrit une porte du meuble en question et sortie une pile de dvd, après quoi il en choisit un au hasard et le mis dans le lecteur. Il attrapa la télécommande et toujours aussi énervé, il s’approcha du canapé et se laissa tomber dessus. Une fois le film commencer, il se redressa légèrement et balança la télécommande sur la table basse après quoi, il appuya ces coudes sur ces genoux et posa sa tête sur ces mains en fixant l’écran. « Soit c’est moi qui ai un problème, soit c’est lui ? » Bien que le film avait commencé, Blaine en avait strictement rien à faire. L’idée de savoir Nolan toujours dans sa chambre le stressait énormément, sans compter qu’il comprenait toujours pas pourquoi Nolan c’était excuser. Incompréhension totale. Ce n’est pas comme si il avait fait quelque chose de mal, bien au contraire. Décidément, rien n’était simple ce soir-là. Trop de complication pour le jeune garçon. Sur un coup de tête, Blaine se releva et parti dans la cuisine à la recherche d’une bouteille de vodka ou quelque chose dans le genre. Au final, il tomba sur de la téquila, il attrapa la bouteille et d’un pas décidé, il retourna dans sa chambre retrouver Nolan. Visage toujours marqué par la colère, le cadet resta debout face à son aîné qui était resté sagement sur le lit. Il agita la bouteille sous ces yeux tout en l’ouvrant. « J’en ai marre, donc maintenant, tu me dis pourquoi tu t’es excuser mais surtout, pourquoi t’as arrêté de faire ce que tu faisais.. » Il le va la bouteille face à lui, montrant son contenue à son aîné. « ..Sinon, à chaque fois que t’essayera de mentir ou éviter de répondre, j’avalerai une ou deux gorgé » Mauvaise idée. Si y avait bien quelqu’un qui ne devait absolument pas boire dans cette pièce, c’était bien Blaine. Il tenait aussi bien l’alcool qu’un chaton qui vient de naître. C’était mauvais comme chantage, il le savait mais il s’en fichait royalement. Il avait été vexer voir même blesser donc, toutes les émotions mélangé à sa fièvre, ça tape au cerveau. Rien de bien bon, et si on ajouté l’alcool en plus, c’était pire.

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MessageSujet: Re: you give me something. ❞ feat. nolan ♥.   you give me something. ❞ feat. nolan ♥. Rapons10Dim 25 Nov - 3:28


« Is he fuckin serious ? » Je ne savais pas à qui je parlais, mais si les murs avaient eu une âme, une personnalité, ou quoi que ce soit qui les ai fait m'entendre - alors je m'adressais à eux. Le fait était que je ne m'adressais à personne autre que moi-même et la colère qui montait progressivement. La surprise, surtout. L'incompréhension. Il était tellement lunatique, quand il le voulait. Je soupirai, envoyant rageusement valser mon poing contre le mur. J'appuyai ma tête contre les briques et fermai les yeux de moitié, le regard totalement recouvert d'un voile glacial. C'était quoi son délire. Qu'avais-je fait de mal ? Je m'étais excusé de le préserver afin de ne pas aller trop loin dans mes actes alors qu'il est malade et - … minute, est-ce que c'était pour ces raisons qu'il m'en voulait ? Je fronçai les sourcils, plissai les yeux. Depuis quand est-ce que Blaine pouvait être outré du fait que ne veuilles pas le toucher – pour son propre bien ? Avais-je été tellement absent ces derniers temps pour ne pas avoir remarqué que sa dite innocence s'évaporait davantage de jours en jours ? Ou s'était-elle déjà fait la malle il y avait de cela un petit moment pour laisser place à un jeune ange … désireux de ma personne ? C'était encore étrange de se dire que quelques jours en arrière, il était pour moi ce qu'il avait toujours été. Un ami, mon meilleur ami. Et qu'à présent, il était devenu bien plus ? Mon meilleur ami, et mon petit ami. Parce qu'il l'était, après tout. Même si sa logique de l'innocence m'échappait complètement, visiblement, je savais qu'il n'était pas du genre à jouer sur ce point-là. Pas avec moi. Toutefois, poser mes mains sur un garçon que j'avais longuement traité comme mon frère était plutôt étrange. Désormais, je ne le voyais plus comme tel. Mais, lui ? Était-ce toujours le cas ? Probablement pas, sinon mon tee-shirt n'aurait pas fini si rapidement sur le sol. Je l'entendis râler au salon et je haussai un sourcil avant de laisser un petit sourire en coin naître sur mes lèvres. Il me voulait vraiment, hein ? T'es lent, Nolan. il n'était pas vraiment question de lenteur mais plutôt de … stupéfaction, dirais-je. De la stupéfaction de l'inspirer à ce point. Peut-être même autant que lui m'inspirait toutes sortes de choses. Je pouffai. Non, il ne pouvait pas ressentir autant de choses que moi. Sinon, sa colère n'aurait pas éclaté, et il m'aurait littéralement violé, n'est-ce pas ? Si, probablement.

Me rendant compte qu'il parvenait encore à m'attendrir malgré moi, j’effaçai bien rapidement ce sourire sur mon visage. Cela faisait déjà deux fois qu'il faisait la navette entre le salon et sa chambre. À vrai dire, j'avais carrément la flemme d'aller lui courir après une nouvelle fois. Et comme le disait si bien le diction : tout vient à point à qui sait attendre. J'étais dans sa chambre. Logiquement, il repasserait par ici pour dormir. À moins qu'il troque son lit pour le canapé et là, j'aviserais. Même si j'en doutais plus ou moins fortement. Je me redressai, jetant un œil à mon poing dont les phalanges étaient rougies. Même pas mal, ç'en était désolant. Je soufflai. Entendis des bruits provenir de l'autre bout de l'appartement. Dans combien de temps allait-il rentrer ? Pas trop tard, j'espérais. J'avais toute ma nuit, mais l'heure était déjà avancée. On devait traîner autour des deux-trois heures du matin. Ne travaillait-il pas ? N'allait-il pas en cours ? Il allait être crevé. Alors, était-ce le bon moment pour lui demander quel était le problème ? Ouais. Autant crever l’abcès histoire qu'il passe une bonne nuit – et que j'en fasse de même. Je massai ma main, par réflexe. Et regardai son lit défait. Ce gosse était tellement imprévisible, insaisissable. Grave chelou, pour être plus explicite. Mais tellement attendrissant – sauf quand il faisait sa crise d'ado. Quand il se mettait à tout envoyer valser dans les airs en hurlant, j'avais juste envie de le prendre par le bras et le secouer jusqu'à ce qu'il ne puisse plus faire un seul son. Bien sûr, jamais je ne le ferais, mais c'était tellement tentant de le faire taire quand il s'emballait pour rien. Une vraie pile électrique. Comme là. Et vas-y que je claque les placards, et vas-y que je claque les portes, que j’envoie les télécommande valser. Bruyant – il était trop bruyant pour moi quand il s'y mettait. Je trouvais ça drôle et perturbant. Ça me faisait rire et ça m'irritait. Ça me donnait envie de le secouer et de l'embrasser. De lui voler son souffle pour qu'il l'utilise à autre chose que ses bêtises. D'utiliser sa langue pour quelque chose de mieux que ce qu'il en faisait. De poser mes mains là où il voudrait que je les pose. D'éveiller les parties de son corps qu'il voudrait que je réveille. D'entendre les murmures de sa voix prononcer mon prénom d'une manière différente que celle qu'il avait actuellement. Je fermai les yeux, reniant les frissons qui remontaient le long de mes bras alors que je songeais à tout ce que j'avais envie de faire. Puis me relaissai tomber sur le lit, assis, appuyé sur les mains vers l'arrière alors que j'observai les murs comme s'ils étaient fascinants. Mais pas le temps de penser quoi que ce soit à leur sujet que la Tornade Blaine revint se présenter à moi. Au final, il avait mis bien moins de temps que ce que je songeais. Je n'allais pas m'en plaindre. Gardant une expression de visage froide et fermée, je le fixai en ne laissant pas filtrer le degré de colère qui était monté d'un coup en le voyant rappliquer avec une bouteille d'alcool. Il se foutait de moi ? Il voulait que je la lui éclate sur la tête ? Ça lui remettrait peut-être les idées en place. Je gardai mes pensées pour moi, ne bougeant pas d'un millimètre et le fixant jusqu'à ce qu'il ai achevé son caprice. J’en ai marre, donc maintenant, tu me dis pourquoi tu t’es excuser mais surtout, pourquoi t’as arrêté de faire ce que tu faisais..Sinon, à chaque fois que t’essayera de mentir ou éviter de répondre, j’avalerai une ou deux gorgé. Non mais … Il se foutait carrément de ma gueule, là ? C'était une blague ? Un poisson d'Avril ? Une caméra cachée ?!

Je me relevai d'un coup, le pointant d'un doigt d'un air pratiquement menaçant. Sourcils froncés, expression terrifiante. Non, j'aurais pu lui courir encore après un petit moment, être attendri et lui pardonner très rapidement – mais ça, c'était la chose à ne pas faire. L'alcool ? Et puis quoi, encore ! Happy ending, oui. Avec ça ? Jamais. C'était méprisable. Et il n'y avait aucun argument pour que je laisse mon petit ami, le mien, se faire bouffer les neurones par cette merde. « Pose ça de suite. » ordonnai-je. J'aurais pu être gentil, lui expliquer immédiatement pourquoi je m'étais excusé. Mais définitivement pas. Pas avec ça. Pas avec ce chantage. La colère me rendait implacable. « T'en as marre ? Moi aussi. » Je fronçai les sourcils davantage si ce fut possible. « Et je te déconseille de jouer à ça avec moi. » Je priai pour que ma colère ne fasse pas dépasser les mots de ma pensée et me fasse dire des choses blessantes, voire vexantes à ce sujet. Infaillible, je m'approchai rapidement de lui et attrapai le poignet qui tenait cette foutue bouteille. De l'alcool. Je ne saurais le tolérer plus longtemps. Peut-être que ma force était un peu au dessus de ce que je pensais donner, également. J'attrapai la bouteille avec ma seconde main, retroussai les lèvres en plongeant mon regard dans le sien. Pas de paroles, pas de mots. Rien. Il devait probablement se rendre compte d'à quel point j'étais loin de plaisanter. Je détestais ça. Je répugnais cette chose. La bouteille partit valser sur le lit après avoir été rebouchée. Mais ma main tenait toujours son poignet. Je me calmai d'un cran, maintenant cette chose hors de portée de Blaine, puis positionnai son poignet dans son dos. J'attrapai l'autre et fis de même. Ainsi, ses deux poignets étaient prisonniers de ma main. Une seule suffisait et, pour une fois, je bénissais ma condition de vampire. « On se fait engueuler quand on s'excuse. C'est nouveau, ça. » Je soufflai, chuchotant presque alors que je continuai de forcer son regard dans le mien. Nos visages étaient proches dû au fait que je tenais ses bras dans son dos. « T'es malade. Tu veux que je continues à te toucher ? Parce que je peux. » Sur ces mots, je posai ma main de libre contre le bois de la porte qui alla claquer contre le mur et m'emparai sauvagement de ses lèvres. Écrasant ma bouche contre la sienne pendant de courtes secondes, je forçai rapidement le passage vers sa langue. Tout en le faisant reculer contre cette dite porte où j'avais plaqué ma main, tout en plaquant le jeune garçon – un peu trop fort ? J'peux être désolé où tu vas me le reprocher ? – sans vraiment faire attention. Je mordillai sa lèvre inférieure, suçotai la supérieure et pressai mon corps contre le sien. C'était un tantinet plus 'violent' que précédemment, mais tout aussi agréable au fond, si je n'avais pas la sale impression d'être un violeur en train de le forcer à m'apprécier. Je caressai sa langue avec la mienne avant de poser ma main sur sa hanche, venant glisser sur la cuisse qu'elle avait quitté quelques minutes auparavant afin de la remonter contre ma taille. Pas un seul souffle d'air pouvait filtrer entre nos deux corps. « je … peux … » répétai-je, haletant. C'était le piégeur piégé, disait-on, le corps tremblant d'envie.

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